ECLARAN 10 pour cent gel pr application locale

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ECLARAN 10 pour cent gel pr application locale

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 30/9/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – AM 332


    Forme : GEL POUR APPLICATION LOCALE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : PIERRE FABRE MEDICAMENT

    Produit(s) : ECLARAN

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 31/5/1983
    2. publication JO de l’AMM 2/8/1983
    3. mise sur le marché 15/4/1984

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 326252-2

    1
    tube(s)
    45
    g
    plastique

    Evénements :

    1. inscription SS 11/9/1985


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 20
    mois

    A L’ABRI DE LA CHALEUR
    LOIN DE TOUTE FLAMME

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 12.51 F

    Prix public TTC : 20.70 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIACNEIQUE USAGE LOCAL (PEROXYDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D10A-E01.
      Antiacnéique local.
      Dans l’état actuel de nos connaissances, la pathogénie de l’acné associe plusieurs facteurs :
      – hypersécrétion séborrhéique (sous la dépendance des androgènes) ;
      – rétention du sébum, par anomalie de la kératinisation de l’infra-infundibulum du follicule pilo-sébacé, aboutissant à la formation de microkystes et comédons (éléments sémiologiques essentiels) ;
      – réaction inflammatoire induite par des germes saprophytes (propionibactérium acnés, staphylococcus épidermis…) et par certains composants irritants du sébum, se traduisant par l’apparition de papules, pustules et nodules.
      Le péroxyde de benzoyle, principe actif d’Eclaran, est un puissant agent oxydant.
      Il possède des propriétés antiacnéiques :
      – par son pouvoir antibactérien sur propionibactérium acnés, principal responsable des phénomènes inflammatoires ;
      – par une activité kératolytique et sébostatique modérée.


    1. Acné vulgaire.

    1. PHOTOSENSIBILISATION
    2. IRRITATION CUTANEE
      Phénomènes irritatifs importants ou prolongés, malgré la bonne observance des précautions d’emploi.

    1. ***
      Des informations précises, fournies au malade, pourront éviter l’arrêt prématuré et injustifié du traitement.

      – Une irritation discrète est possible surtout en début de traitement. Elle ne témoigne pas d’une intolérance ou d’une allergie au topique tant qu’elle reste modérée. Il convient cependant de tester la sensibilité individuelle par une touche d’essai (applications répétées sur une petite surface tégumentaire, pendant quelques jours consécutifs).

      – Pour réduire à un minimum ces phénomènes d’irritation :

      . ne pas appliquer sur une peau déjà irritée par des traitements préalables ;

      . sauf indications précises, l’emploi simultané d’autres thérapeutiques locales kératolytiques ou détersives est déconseillé ;

      .1 à 2 toilettes quotidiennes suffisent, à l’aide d’un pain dermatologique doux ; s’abstenir de tout produit parfumé ou alcoolisé ;

      . éviter les expositions solaires en début de traitement : par la suite, une photoprotection est recommandée ;

      . ne pas utiliser de lampes à ultraviolets ;

      . une prudence particulière s’impose chez les sujets au teint clair et lors de l’application sur les zones fragiles : cou, décolleté, creux sus-claviculaires, pourtour des yeux et de la bouche.

      – Si les phénomènes irritatifs s’avèrent importants ou mal tolérés, espacer les applications et/ou utiliser la forme moins concentrée. Si l’irritation gênante persiste malgré les précautions d’emploi, le traitement devra être interrompu.

      – En cas d’application accidentelle sur les muqueuses (yeux, bouche, narines) ou sur les paupières, rincer très soigneusement à l’eau.

      – Eviter d’appliquer le produit sur une plaie ou une lésion cutanée préalable.

    1. SUJET ALLERGIQUE
      Aux péroxydes (eau oxygénée)

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – en général : 1 à 2 applications par jour sur les lésions.
    – en cure d’entretien : 1 application tous les 2 ou 3 jours.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    – il convient d’adapter la posologie en fonction des données cliniques, de la réponse
    thérapeutique et de la tolérance locale individuelle.
    – se laver les mains après emploi.
    – décoloration de certaines fibres textiles (vêtements, literie…)


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