FLOROCYCLINE 250 mg gélules (arrêt de commercialisation)

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FLOROCYCLINE 250 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 19/4/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – SOBIO TL


    Forme : GELULES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : SMITHKLINE BEECHAM LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES

    Produit(s) : FLOROCYCLINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 23/2/1966
    2. mise sur le marché 1/1/1967
    3. arrêt de commercialisation 1/5/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 304035-9

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    16
    unité(s)
    noir/jaune

    Evénements :

    1. inscription SS 1/9/1966
    2. inscription liste sub. vénéneuses 21/11/1970
    3. radiation SS 20/11/1997


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    A L’ABRI DE LA CHALEUR

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (TETRACYCLINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01A-A07.
      Du groupe des tétracyclines la présence des levures vivantes vise à pallier un éventuel dysmicrobisme intestinal provoqué par l’antibiotique.
      Activité antibactérienne (bactériostatique). Le spectre antibactérien naturel de la tétracycline est le suivant :
      – espèces habituellement sensibles :
      brucella ; pasteurella, mycoplasma pneumoniae, chlamydiae, rickettsiae ; gonocoques, vibrio cholerae, listeria (non accessibles dans leurs localisations méningées), méningocoques (non accessibles dans leurs localisations méningées) ; leptospires, treponema pallidum, haemophilus, corynebacterium acnés ;
      – espèces inconstamment sensibles (10 à 40 pour cent de souches résistantes) :
      staphylocoques, streptocoques ACG, pneumocoques, salmonella typhi, shigella, klebsiella, proteus morganii, escherichia coli, anaerobies (clostridium, bacteroides, fusobacterium), legionella pneumophila.
      – espèces résistantes (CMI supérieure ou égale à 16 mcg/ml) :
      streptocoques B.D, enterobacter, serratia, proteus mirabilis, proteus rettgeri, providencia, pseudomonas, mycobacterium tuberculosis.
      Lorsque pour une espèce donnée, la notion d’une sensibilité constante habituelle des souches n’a pas été établie, seule une étude in vitro de la souche peut permettre de savoir si elle est sensible, résistante ou intermédiaire.


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques du chlorhydrate de tétracycline. Elles tiennent compte à la fois de la situation de cet antibiotique dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles et des connaissances actualisées sur la sensibilité des espèces bactériennes.
      Elles sont limitées aux infections dues aux germes suivants :
      brucelles, pasteurelles, chlamydiae, mycoplasmes, rickettsies, gonocoques, haemophilus influenzae, treponemes et spirochetes, vibrions choleriques ; dans leurs manifestations
      – systémiques,
      – respiratoires,
      – génito-urinaires.
      Dans certaines indications (gonococcie, syphilis) les tétracyclines ne sont indiquées qu’en cas d’allergie aux bêta-lactamines.
      Indication particulière : acné.

    1. DYSCHROMIE DENTAIRE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT DE MOINS DE 8 ANS

      Et hypoplasie de l’émail dentaire.

    2. TROUBLE DIGESTIF
    3. DIARRHEE
    4. NAUSEE
    5. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    6. REACTION ALLERGIQUE
    7. URTICAIRE
    8. RASH
    9. PRURIT
    10. PHOTOSENSIBILISATION
    11. TROUBLE HEMATOLOGIQUE
    12. ANEMIE HEMOLYTIQUE
    13. THROMBOPENIE
    14. NEUTROPENIE
    15. EOSINOPHILIE
    16. UREE SANGUINE(AUGMENTATION)
      Extra-rénale en relation avec un effet antianabolique signalée avec les tétracyclines pouvant être majorée par l’association avec les diurétiques.

    1. DATE DE PEREMPTION
      L’utilisation de tétracyclines périmées peut entraîner l’apparition d’acidoses tubulaires rénales rapidement réversibles.
    2. INSUFFISANCE HEPATIQUE
    3. INSUFFISANCE RENALE
    4. SURDOSAGE
      Risque d’hépatoxicité.
    5. PHOTOSENSIBILISATION
      Eviter toute exposition directe au soleil et aux UV pendant le traitement qui doit être interrompu en cas d’apparition de manifestations cutanées à type d’érythème.

    1. HYPERSENSIBILITE
      Aux tétracyclines.
    2. ENFANTS DE MOINS DE 8 ANS
      Risque de dyschromie dentaire.
    3. ALLAITEMENT
      Risque d’anomalie du bourgeon dentaire ou de dyschromie dentaire chez l’enfant.
    4. GROSSESSE
      L’emploi de ce médicament est à éviter chez la femme enceinte (risque d’anomalie du bourgeon dentaire ou de dyschromie dentaire chez l’enfant).
    5. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      L’association avec les rétinoïdes par voie générale est contre-indiquée en raison du risque d’hypertension intra-crânienne.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Adultes : 6 à 8 gélules par 24 heures soit 1,5 à 2g par jour.
    .
    .
    Posologie Particulière :
    – enfants de plus de huit ans : deux gélules par 10 kg de poids et par 24 heures (50 mg/kg/jour)
    – acné : en traitement associé et au long
    cours avec une posologie régulièrement décroissante (essentiellement par effet inhibiteur sur l’activité lipasique de certaines bactéries) : 750 mg à 1 g/jour jusqu’à 250 mg/jour.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    – à prendre en dehors des repas et à répartir en deux
    ou trois prises régulièrement espacées.
    – interactions avec les examens paracliniques :
    . peut donner de faux résultats positifs dans le dosage du glucose urinaire (méthode de Bénerdict, clinitest).
    . peut produire dans les urines une fluorescence
    interférant dans le dosage des catécholamines urinaires (méthode de Hingerty).


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