ERYFLUID 4 pour cent solution pr usage externe
ERYFLUID 4 pour cent solution pr usage externe
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 26/4/2001
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code expérimentation – AM 393
Forme : SOLUTION POUR APPLICATION LOCALE
Etat : commercialisé
Laboratoire : PIERRE FABRE MEDICAMENTProduit(s) : ERYFLUID
Evénements :
- octroi d’AMM 26/10/1983
- publication JO de l’AMM 20/12/1983
- mise sur le marché 1/1/1984
Présentation et Conditionnement
Conditionnement 1
Numéro AMM : 328402-1
1
flacon(s)
30
ml
verreEvénements :
- agrément collectivités 11/11/1988
- inscription SS 11/11/1988
Lieu de délivrance : officine et hôpitaux
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 18
mois
CONSERVER DANS UN ENDROIT FRAIS
A L’ABRI DE LA LUMIERERégime : liste I
Réglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix Pharmacien HT : 9.41 F
Prix public TTC : 16.20 F
TVA : 2.10 %Conditionnement 2
Numéro AMM : 326710-0
1
flacon(s)
100
ml
verre jauneEvénements :
- inscription SS 11/5/1990
- agrément collectivités 27/5/1990
Lieu de délivrance : officine et hôpitaux
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 18
mois
CONSERVER DANS UN ENDROIT FRAIS
A L’ABRI DE LA LUMIERERégime : liste I
Réglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix Pharmacien HT : 25.11 F
Prix public TTC : 37.30 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Volume : 100
ml- ERYTHROMYCINE 4 g
- ALCOOL ETHYLIQUE A 95C excipient
- MACROGOL 400 excipient
- PROPYLENE GLYCOL excipient
- ANTIACNEIQUE USAGE LOCAL (ANTIINFECTIEUX) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : D10A-F02.
Antiacnéique local.
Dans l’état actuel de nos connaissances, la pathogénie de l’acné associe plusieurs facteurs :
– hypersécrétion séborrhéique (sous la dépendance des androgènes) ,
– rétention du sébum, par anomalie de kératinisation de l’infra-infundibulum du follicule pilo-sébacé, aboutissant à la formation de microkystes et comédons (éléments sémiologiques essentiels) ;
– réaction inflammatoire induite par des germes saprophytes (propionibacterium acnés, staphylococcus epidermis…) et par certains composants irritant du sébum, se traduisant par l’apparition de papules, pustules et nodules.
Eryfluid agit sur la réaction inflammatoire.
L’érythromycine base s’oppose à la colonisation bactérienne du follicule pilo-sébacé.
Bien que son mécanisme d’action n’ait pas encore été totalement élucidé, de nombreux travaux démontrent que son utilisation par voie topique entraîne une chute de la teneur en acides gras libres irritants au sein des lipides cutanés superficiels.
-
Traitement de l’acné, plus particulièrement, les formes à dominante inflammatoire papulo-pustuleuses.
- REACTION CUTANEE
- IRRITATION CUTANEE
- PRURIT
- ERYTHEME
- REACTION ALLERGIQUE
- SECHERESSE DE LA PEAU
Sensation de sécheresse de la peau en début de traitement.
- RECOMMANDATION
Eviter le contact avec les muqueuses et les zones fragiles (excipient alcoolique) : creux sus-claviculaire, cou, pourtour des yeux. - GROSSESSE
Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène sur une seule espèce mais pas d’effet foetotoxique de l’érythromycine.
En clinique, il existe un recul important (sauf avec l’estolate), avec un nombre suffisant de grossesses exposées, qui n’a pas révélé d’effet malformatif ou foetotoxique de l’érythromycine.
En conséquence, l’érythromycine peut être prescrite pendant la grossesse si besoin. - ALLAITEMENT
L’érythromycine passe dans le lait maternel ; une diarrhée, de l’iiritabilité ont pu être observés ; en conséquence, l’allaitement est déconseillé.
- ALLERGIE A L’ERYTHROMYCINE
Ou à la famille des macrolides apparentes. - ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
– Ebastine : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du métabolisme hépatique de l’antihistaminique par le macrolide).
– Cisapride : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du métabolisme hépatique du cisapride par le macrolide).
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Une ou deux applications quotidiennes, après nettoyage de la peau.
Le traitement sera poursuivi jusqu’à amélioration clinique, en moyenne un à trois mois.
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Mode d’Emploi :
bien refermer le flacon après usage.