RIBOSTAMYCINE SULFATE
RIBOSTAMYCINE SULFATE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/8/2000
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Pharmaco-Dépendance
- Précautions d’emploi
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
Identification de la substance
Formule Chimique :
O-DIAMINO-2,6 DIDESOXY-2,6 ALPHA-D-GLUCOPYRANNOSYL-(1-4)O-[BETA- D-RIBOFURANNOSYL-(1-5)]DESOXY-2 STREPTAMINE SULFATEEnsemble des dénominations
autre dénomination : SULFATE DE RIBOSTAMYCINE
bordereau : 2390Classes Chimiques
Molécule(s) de base : RIBOSTAMYCINE
- ANTIBIOTIQUE (principale certaine)
Spectre antibactérien présumé:
Staphylocoque pathogène, méningocoque, gonocoque, Escherichia coli, alcalescens, citrobacter, shigella, salmonella typhi, salmonelles autres que salmonella typhi, pneumobacille, enterobacter, serratia, proteus indol plus, providencia, yersinia pestis, yersinia autres que yersinia pestis, vibrio, campylobacter foetus, moraxella groupe 1, moraxella groupe 2, brucella, hemophilus, hemophilus ducreyi;
bordetella, pasteurella septica, francisella tularensis, listeria monocytogènes, erysipelothrix insidiosa, corynebacterium diphteriae, bacillus anthracis, mycobacterium tuberculosis, mycobacterium BCG, mycobacterium atypique. - ANTIBACTERIEN (principale certaine)
Mécanismes d’action
- principal
Action bactéricide et bactériostatique par altération de la lecture du code génétique (fixation sur la sous-unité 30 S des ribosomes), entrainant une perturbation de la synthèse protéique.
Résistance extra-chromosomique transférable par plasmides (surtout chez les Gram -) par production d’aminoglycoside 3 phosphotransférase1 et 2.
- ANTIBIOTIQUE (principal)
- ANTIBACTERIEN (principal)
- INFECTION URINAIRE A ENTEROBACTERIES (principale)
- INFECTION GENITALE A ENTEROBACTERIES (principale)
- SEPTICEMIE A ENTEROBACTERIES (principale)
- INFECTION BRONCHOPULMONAIRE A ENTEROBACTERIES (principale)
- INFECTION SUPPUREE A ENTEROBACTERIES (principale)
- INFECTION GYNECOLOGIQUE (principale)
- INFECTION CHIRURGICALE (principale)
- CEPHALEE (CERTAIN RARE)
- SOMNOLENCE (CERTAIN RARE)
- PRURIT (CERTAIN RARE)
- URTICAIRE (CERTAIN RARE)
- ERYTHEME (CERTAIN RARE)
- TOXICITE AUDITIVE (CERTAIN )
- ATTEINTE COCHLEAIRE (CERTAIN )
- SURDITE (CERTAIN )
Condition(s) Exclusive(s) :
TRAITEMENT PROLONGE
INSUFFISANCE RENALE PREEXISTANTE
FORTE DOSE
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Dose usuelle par voie intramusculaire exclusiveme, chez l’adulte:
Vingt cinq milligrammes par kilo et par jour en 2 injections.
Surveillance avant, pendant et après le traitement de l’intégrité cochléo-vestibulaire.
En cas d’insuffisance rénale, ajuster
la posologie en fonction de la clairance de la créarinine.
Ne pas mélanger avec d’autres substances dans une même seringue.
Pharmaco-Cinétique
– 1 –
DEMI VIE
2
heure(s)
– 2 –
ELIMINATION
voie rénaleAbsorption
Taux sérique maximum 30 mns après injection IM.Répartition
Très faible liaison aux protéines plasmatiques :15%;
Passe la barrière placentaire.
Passe très faiblement dans le lait.
Demi-Vie
2 heures.
Métabolisme
Non métabolisé.
Elimination
Voie rénale:
Elimination presque totalement rénale (glomérulaire), sous forme active.
80% de la dose administrée sont éliminés dans les 6 premières heures.Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr
Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
-
Attention ! Données en date de janvier 2000.
- RIBASTAMIN (ESPAGNE)
- RIBOMED (ITALIE)
- RIBOMYCINE (FRANCE(SPECIALITES RETIREES DU MARCHE))
- RIBOSTAT (ITALIE)
- VISTAMYCIN (JAPON)
- VISTAMYCINE (AUTRES PAYS)
- ANTIBIOTIQUE (principale certaine)