NEOARSPHENAMINE
NEOARSPHENAMINE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 5/7/1999
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Posologie & mode d’administration
- Bibliographie
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
(AMINO-3’DIHYDROXY-4,4’ARSENOBENZENE-3)METHANESULFINATE DE SODIUMEnsemble des dénominations
DCF : NEOARSPHENAMINE
DCIR : NEOARSPHENAMINE
autre dénomination : NEOARSAMINOL
autre dénomination : NEOARSENOBENZOL
autre dénomination : NEOARSPHENOLAMINE
autre dénomination : NEOSALVARSAN
autre dénomination : NOVARSENOBENZENE
autre dénomination : NOVARSENOBENZOL
bordereau : 1174Classes Chimiques
- ANTIPARASITAIRE (principale certaine)
- SPIRILLICIDE (principale certaine)
- ANTIBACTERIEN (principale certaine)
BACTERICIDE - ANTIPROTOZOAIRE (secondaire certaine)
- AMOEBICIDE (secondaire certaine)
- AMOEBICIDE DE CONTACT (secondaire certaine)
- TRYPANOCIDE (secondaire certaine)
Mécanismes d’action
- principal
L’action antiparasitaire est probablement dûe à une inactivation des groupements thiols des enzymes du parasite.
Action amoebicide dite de contact dans l’amibiase intestinale.
Médicament de la cure d’entretien de l’amibiase actif sur les formes Minuta de Entamoeba Dysenteriae et sur ses kystes.
- ANTISEPTIQUE (principal)
- ANTISEPTIQUE BUCCO-PHARYNGE (principal)
- ANTISYPHILITIQUE (accessoire)
- ANTISEPSIE BUCCOPHARYNGEE (principale)
Proposé comme antiseptique buccal et pharyngé en cas d’angine microbienne, de stomatite et de pyorrhée alvéolodentaire - ANGINE DE VINCENT (principale)
- SYPHILIS (secondaire)
En cas d’allergie à la pénicilline.
- BOUFFEE VASOMOTRICE (CERTAIN TRES RARE)
- HYPERHIDROSE (CERTAIN TRES RARE)
- DYSPNEE (CERTAIN TRES RARE)
- HYPOTENSION ARTERIELLE (CERTAIN TRES RARE)
- PRECORDIALGIE (CERTAIN TRES RARE)
- FIEVRE (CERTAIN TRES RARE)
- ERUPTION CUTANEE (CERTAIN TRES RARE)
- SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON (CERTAIN TRES RARE)
- PURPURA (CERTAIN RARE)
Thrombopénique ou non. - NAUSEE (CERTAIN TRES RARE)
- VOMISSEMENT (CERTAIN TRES RARE)
- ICTERE (CERTAIN TRES RARE)
- HEPATITE CHOLESTATIQUE (CERTAIN TRES RARE)
- ANEMIE (CERTAIN TRES RARE)
- ANEMIE HEMOLYTIQUE (CERTAIN )
Condition(s) Exclusive(s) :
DEFICIT EN G6PD - NEUTROPENIE (CERTAIN RARE)
- AGRANULOCYTOSE (CERTAIN TRES RARE)
- THROMBOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
- APLASIE MEDULLAIRE (CERTAIN TRES RARE)
Posologie et mode d’administration
N’a été commercialisé en France que comme désinfectant bocco-pharyngé:
* traitement de la syphilis:
Dose usuelle par voie intraveineuse :
– chez l’adulte:
Cent cinquante à six cents milligrammes par jour tous les 5 à 7 jours jusuqu’à un total de quatre à
six grammes par cure, avec un intervalle entre 2 cures de 4 à 12 semianes.
Dose maximale: neuf cents milligrammes par jour.
– chez l’enfant de 30 mois à 15 ans:
Dose usuelle: Dix à quinze milligrammes par kilo et par jour.
Dose maximale: cent
milligrammes par kilo et par jour.
les doses seront atteintes très progressivement.
Bibliographie
– Experimental Chemotherapy; Ed Schnitzer et Hawking ; Academic Press 1963.
Spécialités
Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr
Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
-
Attention ! Données en date de janvier 2000.
- COLLUNOVAR (SUISSE)
- COLLUNOVAR-SEC (SUISSE)