ETHAVERINE CHLORHYDRATE
ETHAVERINE CHLORHYDRATE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 27/7/1999
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Pharmaco-Dépendance
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Posologie & mode d’administration
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
DIETHOXY-6,7(DIETHOXY-3,4 BENZYL)-1 ISOQUINOLEINE CHLORHYDRATEEnsemble des dénominations
autre dénomination : CHLORHYDRATE D’ETHAVERINE
autre dénomination : CHLORHYDRATE DE PERPARINE
autre dénomination : CHLORHYDRATE DE TETRAETHOXYBENZYLISOQUINOLEINE
autre dénomination : PERPARINE CHLORHYDRATE
bordereau : 2112Classes Chimiques
Molécule(s) de base
- SPASMOLYTIQUE (principale certaine)
EFFET RELAXANT SUR LES FIBRES MUSCULAIRES LISSES DES GROS VAISSEAUX, DES INTESTINS, DES VOIES BILIAIRES ET DES URETERES - SPASMOLYTIQUE MUSCULOTROPE (principale certaine)
EFFET DIRECT SUR LES FIBRES MUSCULAIRES LISSES
Mécanismes d’action
- principal
Spasmolytique agissant au niveau des vaisseaux, bronches, intestin, uretère et vésicule biliaire.
Spasmolytique musculotrope: agit directement sur la fibre lisse et se comporte comme un antagoniste du calcium au niveau de la membrane cellulaire, et élève le 3’5’AMP par inhibition de la phosphodiestérase.
Effet sensible surtout sur un tonus musculaire exagéré.
Mécanisme particulier au niveau vasculaire.
Relâchement des muscles lisses des gros vaisseaux et des artérioles avec diminution des résistances périphériques et augmentation du débit sanguin ,notamment
– au niveau cérébral, dans les zones ischémiques.
– au niveau coronaire, mais l’effet antiangoreux résultant est limité du fait que la vasodilatation est associée à une augmentation du travail, ne donnant un bilan en oxygène que légèrement positif.
– au niveau du labyrynthe.
- ANTISPASMODIQUE (principal)
- SPASME VISCERAL (principale)
En particulier spasmes digestifs et urétéraux. - SPASME VASCULAIRE (principale)
Est proposée dans certains troubles vasomoteurs périphériques.
- BOUFFEE VASOMOTRICE (CERTAIN RARE)
- HYPERHIDROSE (CERTAIN RARE)
- HYPOTENSION ARTERIELLE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTES DOSES - ANOREXIE (CERTAIN )
- NAUSEE (CERTAIN TRES RARE)
- SOMNOLENCE (CERTAIN TRES RARE)
- VERTIGE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTES DOSES - CEPHALEE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTES DOSES
- BLOC AURICULOVENTRICULAIRE
- GLAUCOME A ANGLE FERME
- ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
- GROSSESSE
Inocuité non établie. - ALLAITEMENT
Inocuité non établie.
Posologie et mode d’administration
N’est commercialisé en fance que sous forme d’association.
Dose usuelle par voie orale chez l’adulte:
Trois cents à six cents milligrammes par jour en plusieurs prises.
Pharmaco-Cinétique
Absorption
INFORMATION MANQUANTE
Spécialités
Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr
Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
-
Attention ! Données en date de janvier 2000.
- CARDIOSTRON (ALLEMAGNE)
- ETHAQUIN (USA)
- ETHATAB (USA)
- ISOVEX (USA)
- MYOQUIN (USA)
- NEOPAVRIN (USA)
- SPASMATROL (AUTRES PAYS)
- SPASODIL (AUTRES PAYS)
- SPASMOLYTIQUE (principale certaine)