HARMONET comprims enrobs

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HARMONET comprims enrobs

Introduction dans BIAM : 26/6/1995
Dernière mise à jour : 5/11/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES ENROBES

    Etat : commercialis

    Laboratoire : WYETH-LEDERLE

    Produit(s) : HARMONET

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 1/6/1995
    2. mise sur le march 8/6/1995
    3. publication JO de l’AMM 27/10/1995

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 339220-7

    1
    plaquette(s) thermoforme(s)
    21
    unit(s)
    PVC/PVDC/alu
    blanc

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 48
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    non rembours

    Prix Pharmacien HT : 31.30 F

    Prix public TTC : 49.60 F

    TVA : 5.50 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 339221-3

    3
    plaquette(s) thermoforme(s)
    21
    unit(s)
    PVC/PVDC/alu
    blanc

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 48
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    non rembours

    Prix Pharmacien HT : 92.12 F

    Prix public TTC : 146 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. CONTRACEPTIF HORMONAL (ESTROPROGESTATIF COMBINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : G03A-A10.
      Combin, minidos, monophasique.
      Indice de Pearl (nombre de grossesse sur 100 annes-femmes) : 0,07 pour cent annes-femmes (19 095 cycles).
      L’efficat contraceptive rsulte de trois actions complmentaires :
      – au niveau de l’axe hypothalamohypophysaire par inhibition de l’ovulation,
      – au niveau de la glaire cervicale qui devient impermable la migration des spermatozodes,
      – au niveau de l’endomtre, qui est impropre la nidation.
      * Proprits Pharmacocintiques
      Ethinylestradiol :
      – rapidement et compltement absorb partir du tractus gastro-intestinal,
      – le pic plasmatique est atteint en 1 2 heures,
      – par effet de premier passage, la biodisponibilit est d’environ 45 %,
      – l’thinylestradiol est li l’albumine et augmente la capacit de liaison de la SHBG,
      – la demi-vie d’limination est d’environ 28 heures,
      – l’thinylestradiol est d’abord mtabolis par hydroxylation aromatique, puis mthyl et hydroxyl en mtabolites libres, glucuro ou sulfoconjugus,
      – les drivs conjugus subissent un cycle entrohpatique,
      – 40 % environ des mtabolites sont limins dans l’urine, 60 % environ par les fces.
      Gestodne :
      – rapidement et compltement absorb partir du tractus gastro-intestinal,
      – le pic plasmatique est atteint en 1 2 heures,
      – il n’existe pas d’effet de premier passage et la biodisponibilit est complte,
      – le gestodne est trs li la SHBG,
      – la demi-vie d’limination est d’environ 20 heures,
      – le noyau A est rduit, puis glucuroconjugu,
      – 50 % environ du gestodne est limin dans l’urine, 33 % environ par les fces.
      ** Scurit prclinique
      Les tudes toxicologiques ont t menes sur chaque composant et leur association.
      Les tudes de toxicit aigu chez l’animal n’indiquent aucun risque de manifestations secondaires aigus du fait d’un surdosage accidentel.
      Les tudes de tolrance gnrale, avec administration rpte, n’ont mis en vidence aucun effet rvlateur d’un risque inattendu pour l’homme.
      Les tudes de carcinogense, menes au long cours et doses itratives, n’indiquent aucun pouvoir cancrigne ; cependant, il importe de rappeler que les strodes sexuels ont la capacit de promouvoir le dveloppement de certains tissus en tumeurs hormonodpendantes.
      Les tudes de tratogense n’indiquent aucun risque particulier en cas d’usage correct des estroprogestatifs ; il est cependant impratif d’arrter immdiatement le traitement en cas de prise intempestive en dbut de grossesse.
      Les tudes de mutagense ne rvlent aucun potentiel mutagne de l’thinylestradiol et du gestodne.

    1. ***
      Contraception orale.
    2. CONTRACEPTION ORALE

    1. INFARCTUS DU MYOCARDE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    2. ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    3. PHLEBITE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    4. EMBOLIE PULMONAIRE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    5. HYPERTENSION ARTERIELLE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    6. INSUFFISANCE CORONARIENNE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    7. HYPERTRIGLYCERIDEMIE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    8. HYPERCHOLESTEROLEMIE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    9. DIABETE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    10. MASTODYNIE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    11. MASTOPATHIE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    12. ADENOME HYPOPHYSAIRE A PROLACTINE (RARE)
      Eventuellement rvl par une galactorrhe, relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    13. CEPHALEE
      – Cphale importante et inhabituelle :
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
      – Cphale banale :
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    14. MIGRAINE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    15. VERTIGE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    16. MODIFICATIONS DE LA VISION (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    17. COMITIALITE(AGGRAVATION) (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    18. ADENOME HEPATIQUE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    19. ICTERE CHOLESTATIQUE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    20. CHLOASMA (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement .
    21. NAUSEE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    22. POIDS(AUGMENTATION) (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    23. IRRITABILITE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    24. JAMBE LOURDE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    25. TENSION MAMMAIRE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    26. METRORRAGIE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    27. OLIGOMENORRHEE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    28. AMENORRHEE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    29. TROUBLE DE LA LIBIDO (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    30. INTOLERANCE AUX LENTILLES DE CONTACT (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    31. ACNE (RARE)
    32. SEBORRHEE (RARE)
    33. HYPERTRICHOSE (RARE)
    34. LITHIASE BILIAIRE
    35. AMENORRHEE POST-THERAPEUTIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ARRET DU TRAITEMENT

      Des amnorrhes avec anovulation (survenant plus volontiers chez les femmes ayant des antcdents de cycles irrguliers) peuvent s’observer l’arrt du traitement. Elles cdent en gnral spontanment. En cas de prolongation, avant toute nouvelle prescription, la recherche d’une ventuelle pathologie hypophysaire s’impose.

    1. MISE EN GARDE
      1 – Risque thromboembolique artriel et veineux :

      Avant la prescription d’une contraception orale estroprogestative, il importe de rechercher systmatiquement les facteurs de risque thromboembolique artriel et veineux, et de prendre en compte les contre-indications ou prcautions d’emploi.

      La survenue de symptmes pouvant faire craindre l’imminence d’une complication impose l’arrt du traitement : cphales importantes et inhabituelles, troubles oculaires, lvation de la tension artrielle, signes cliniques de phlbite et d’embolie pulmonaire.

      – Risque thromboembolique veineux :

      Des tudes pidmiologiques ont montr que l’utilisation d’un contraceptif oral augmente faiblement le risque thromboembolique veineux. Cependant, ce risque est infrieur celui associ la grossesse.

      De plus, chez les utilisatrices de contraceptifs oraux de 3me gnration contenant un progestatif tel que dsogestrel ou gestodne, une lgre augmentation du risque thromboembolique veineux par rapport aux femmes utilisant une contraception orale de 2 me gnration comprenant un progestatif tel que lvonorgestrel, lynestrnol ou northistrone a t observe dans certaines tudes pidmiologiques.

      Ces rsultats pourraient tre en partie expliqus par des biais ou des facteurs de confusion. En particulier, l’augmentation apparente du risque pourrait tre due une prescription prfrentielle des contraceptifs oraux de 3me gnration des femmes prsentant plus de risque de dvelopper des thromboses veineuses.

      Les facteurs de risque thromboembolique veineux sont :

      – les antcdents personnels thromboemboliques avec ou sans facteur dclenchant, l’obsit (indice de masse corporelle > ou = 30 kg/m2 ) qui sont des contre-indications ;

      – l’intervention chirurgicale, l’alitement et le post-partum :

      En cas d’intervention chirurgicale prvue, il convient d’interrompre l’estroprogestatif un mois l’avance.

      En cas d’immobilisation prolonge, le traitement sera galement interrompu.

      En post-partum jusqu’au retour de couches, il est souhaitable d’utiliser une autre mthode contraceptive (contraception mcanique ou contraception orale progestative microdose) ;

      – les antcdents familiaux :

      En cas d’antcdents familiaux thromboemboliques veineux (ayant touch un ou plusieurs sujets de moins de 50 ans), il peut tre utile, avant la prescription de la contraception estroprogestative, de rechercher une anomalie favorisant la thrombose veineuse ;

      – les varices (surveillance attentive de ces patientes). 2 – Risque thromboembolique artriel :

      Les donnes disponibles sur le risque d’infarctus du myocarde ne permettent pas de conclure un risque diffrent entre les utilisatrices de contraceptifs oraux de 2me et de 3me gnration mais un risque moindre pourrait exister chez les utilisatrices de contraceptifs oraux de 3 me gnration.

      Le risque thromboembolique artriel associ la prise de contraceptifs oraux augmente avec l’ge et le tabagisme. C’est pourquoi les femmes de plus de 35 ans sous contraceptif oral doivent imprativement cesser de fumer.

      Les autres facteurs de risque thromboembolique artriel sont :

      – certaines affections cardiovasculaires : HTA, coronaropathies, valvulopathies, trouble du rythme thrombognes ; le diabte ; les dyslipidmies qui sont des contre-indications ;

      – l’ge : le risque thrombotique artriel augmentant avec l’ge, le rapport bnfice/risque de cette contraception devra tre rvalu individuellement partir de 35 ans. 3 – Cancers gyncologiques :

      – Une mta-analyse regroupant les donnes de 54 tudes internationales a mis en vidence une lgre augmentation du risque de cancer du sein chez les utilisatrices de contraceptifs oraux.

      L’augmentation du risque ne semble pas dpendante de la dure d’utilisation ni de l’existence de facteurs de risque tels que la nulliparit et les antcdents familiaux de cancer du sein. Cette augmentation est transitoire et disparat 10 ans aprs l’arrt de son utilisation.

      La surveillance clinique plus rgulire des femmes sous contraceptif oral, permettant un diagnostic plus prcoce, pourrait jouer un rle important dans l’augmentation du nombre de cancers du sein diagnostiqus.

      Les donnes publies ne sont pas de nature remettre en cause l’utilisation des contraceptifs oraux dont les bnfices sont nettement suprieurs aux risques ventuels.

      – Par ailleurs, la contraception orale diminue le risque de cancer de l’ovaire et de l’utrus (endomtre).
    2. SURVEILLANCE MEDICALE
      Un examen mdical est ncessaire avant et en cours de traitement ; les contrles porteront essentiellement sur : poids, tension artrielle, seins, appareil gnital, frottis cervicovaginaux, triglycridmie et cholestrolmie, glycmie.
    3. EPILEPSIE
      Surveiller attentivement.
    4. MIGRAINE
      Surveiller attentivement.
    5. ASTHME
      Surveiller attentivement.
    6. ANTECEDENT VASCULAIRE FAMILIAL
      Une surveillance attentive doit tre exerce chez les patientes prsentant des antcdents vasculaires artriels familiaux.
    7. VARICES
      Surveiller attentivement.
    8. TROUBLES DIGESTIFS INTERCURRENTS
      La survenue de troubles digestifs intercurrents dans les 4 heures suivant la prise, tels que vomissements, peut entraner une inefficacit transitoire de la mthode et imposer la conduite tenir prconise en cas d’oubli de moins de 12 heures. Si ces pisodes se rptent sur plusieurs jours, il est alors ncessaire d’associer une autre mthode contraceptive, en particulier de type mcanique (prservatifs masculins, spermicides…) jusqu’ la reprise de la plaquette suivante.
    9. METRORRAGIE
      Des mtrorragies peuvent apparatre, plus particulirement pendant les premiers mois d’utilisation. Ils cessent en gnral spontanment et il n’y a pas lieu d’interrompre le traitement. Si ces saignements persistent ou apparaissent pour la premire fois aprs une utilisation prolonge, la recherche d’une ventuelle cause organique s’impose.
    10. SAIGNEMENTS
      Des spottings peuvent apparatre, plus particulirement pendant les premiers mois d’utilisation. Ils cessent en gnral spontanment et il n’y a pas lieu d’interrompre le traitement. Si ces saignements persistent ou apparaissent pour la premire fois aprs une utilisation prolonge, la recherche d’une ventuelle cause organique s’impose.
    11. CHLOASMA
      En cas de chloasma apparu lors d’une grossesse, il est recommand d’viter les expositions solaires.

    1. GROSSESSE (absolue)
      Ce mdicament n’est pas indiqu pendant la grossesse.
      En clinique, la diffrence du dithylstilbestrol, les rsultats de nombreuses tudes pidmiologiques permettent d’carter, ce jour, un risque malformatif des estrognes seuls ou en association, en dbut de grossesse.
      Par ailleurs, les risques portant sur la diffrenciation sexuelle du foetus (en particulier fminin), risques dcrits avec d’anciens progestatifs trs andrognomimtiques, n’ont pas lieu d’tre extrapols aux progestatifs rcents comme celui prsent dans cette spcialit, nettement moins, voire pas du tout, andrognomimtiques.
      En consquence, la dcouverte d’une grossesse sous estroprogestatifs n’en justifie pas l’interruption.
    2. MALADIE THROMBOEMBOLIQUE (absolue)
      – Accidents thromboemboliques ou antcdents thromboemboliques artriels (en particulier infarctus du myocarde, accident vasculaire crbral).
      – Accidents thromboemboliques ou antcdents thromboemboliques veineux (phlbite, embolie pulmonaire) avec ou sans facteur dclenchant.
    3. INFARCTUS DU MYOCARDE(ANTECEDENT) (absolue)
    4. ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL (ANTECEDENT) (absolue)
    5. PHLEBITES (relative)
      Avec ou sans facteur dclenchant.
    6. EMBOLIE PULMONAIRE(ANTECEDENT) (absolue)
      Avec ou sans facteur dclenchant.
    7. HYPERTENSION ARTERIELLE (absolue)
    8. INSUFFISANCE CARDIOVASCULAIRE (absolue)
      Coronaropathie, valvulopathie.
    9. TROUBLES DU RYTHME (absolue)
      Trouble du rythme d’origine thrombogne.
    10. ACCIDENTS OCULAIRES D’ORIGINE VASCULAIRE (absolue)
      D’origine vasculaire.
    11. DIABETE
      – Contre-indication absolue :
      Diabte compliqu de micro ou de macroangiopathie.
      – Contre-indication relative :
      Diabte non compliqu.
    12. CANCER DU SEIN (absolue)
    13. CANCER DE L’UTERUS (absolue)
    14. AFFECTIONS HEPATIQUES (absolue)
      Affections hpatiques svres ou rcentes
    15. TUMEUR HYPOPHYSAIRE (absolue)
    16. HEMORRAGIES GENITALES NON DIAGNOSTIQUEES (absolue)
    17. CONNECTIVITE (absolue)
    18. PORPHYRIE (absolue)
    19. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (absolue)
      1 / Association contre-indique :
      Ritonavir
      2 / Associations dconseilles :
      Inducteurs enzymatiques.
    20. TABAGISME (relative)
    21. HYPERLIPIDEMIE (relative)
      Hypertriglycridmie, hypercholestrolmie.
    22. OBESITE (relative)
      Indice de masse corporelle = poids/taille2 > ou = 30 kg/m2.
    23. OTOSCLEROSE (relative)
    24. TUMEUR BENIGNE DU SEIN (relative)
    25. HYPERPLASIE UTERINE (relative)
    26. FIBROME UTERIN (relative)
    27. PROLACTINE(AUGMENTATION) (relative)
      Avec ou sans galactorrhe.
    28. INSUFFISANCE RENALE (relative)
    29. CHOLESTASE (relative)
      Rcurrente.
    30. PRURIT GRAVIDIQUE(ANTECEDENTS) (relative)
    31. HERPES GRAVIDIQUE (relative)
    32. ALLAITEMENT (relative)
      En cas d’allaitement, l’utilisation de ce mdicament est dconseille en raison du passage des estroprogestatifs dans le lait maternel.
      Si la femme dsire allaiter, un autre moyen de contraception doit tre propos.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT

    Traitement

    Le surdosage peut se manifester par des signes digestifs (nauses, vomissements…) et des troubles du cycle.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Prendre rgulirement et sans oubli : un comprim par jour, au mme moment de la journe, pendant 21 jours conscutifs, avec un arrt de sept jours entre chaque plaquette.
    .
    Mode d’Emploi :
    * Dbut de contraception orale, premier
    comprim prendre le premier jour des rgles.
    * Relais d’un autre estroprogestatif : premier comprim ; aprs un arrt de sept jours si la prcdente plaquette contenait vingt et un comprims, (six jours si elle en contenait vingt deux, ou sans
    intervalle si elle en contenait vingt huit).
    En cas d’absence d’hmorragie de privation pendant les six ou sept jours qui suivent l’arrt de la pilule prcdente, s’assurer de l’absence de grossesse avant de commencer le traitement.
    * L’oubli d’un
    comprim expose un risque de grossesse.
    Si l’oubli est constat dans les douze heures qui suivent l’heure habituelle de la prise, prendre immdiatement le comprim oubli et poursuivre le traitement normalement en prenant le comprim suivant l’heure
    habituelle.
    Si l’oubli est constat plus de douze heures aprs l’heure normale de la prise, la scurit contraceptive n’est plus assure. Prendre immdiatement le dernier comprim oubli et poursuivre le traitement contraceptif oral jusqu’ la fin de la
    plaquette, en utilisant simultanment une mthode contraceptive de type mcanique (prservatifs, spermicides…) jusqu’ la reprise de la plaquette suivante, y compris pendant les rgles.


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