ZECLAR 500 mg comprim pellicul

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ZECLAR 500 mg comprim pellicul

Introduction dans BIAM : 2/10/1995
Dernière mise à jour : 9/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES ENROBES

    Etat : commercialis

    Laboratoire : ABBOTT FRANCE

    Produit(s) : ZECLAR

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 28/3/1994
    2. publication JO de l’AMM 29/7/1994
    3. mise sur le march 15/9/1995
    4. rectificatif d’AMM 23/5/2000

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 337204-4

    2
    plaquette(s) thermoforme(s)
    15
    unit(s)
    PVC/PVDC/alu
    jaune

    Evénements :

    1. inscription SS 9/3/1995
    2. agrment collectivits 23/3/1995


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 334.99 F

    Prix public TTC : 384.50 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 338280-6

    1
    plaquette(s) thermoforme(s)
    14
    unit(s)
    PVC/PVDC/alu
    jaune

    Evénements :

    1. agrment collectivits 8/2/1997
    2. inscription SS 8/2/1997
    3. mise sur le march 17/2/1997


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 164.16 F

    Prix public TTC : 194.30 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 3

    Numéro AMM : 338013-8

    1
    plaquette(s) thermoforme(s)
    10
    unit(s)
    PVC/PVDC/alu
    jaune

    Evénements :

    1. agrment collectivits 22/9/1999
    2. inscription SS 22/9/1999
    3. mise sur le march 15/10/1999


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 117.26 F

    Prix public TTC : 151.50 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (MACROLIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01F-A09.
      La Clarithromycine est un antibiotique bactrien, driv semi-synthtique de l’rythromycine A, de la famille des macrolides (en C14).
      – Activit antibactrienne :
      La Clarithromycine possde la caractristique d’tre transforme chez l’homme en mtabolite 14 hydroxyl actif. L’activit anti-bactrienne de ce mtabolite est variable selon les espces avec les CMI gales ou infrieures d’une dilution celles de la Clarithromycine. La concentration srique de ce mtabolite est significative puisqu’elle est de l’ordre de 30 50% de celle de la molcule mre. Son activit est prendre en compte dans l’valuation globale de l’activit antibactrienne de la Clarithromycine.
      – Le spectre d’activit antibactrienne :
      1/ Espces habituellement sensibles (CMI infrieure ou gale 1 mg/l) :
      Plus de 90 % des souches sont sensibles (S).
      Streptocoques, staphylocoques mticilline-sensibles, Rhodococcus equi,
      M. catarrhalis, Bordetella pertussis, Campylobacter jejuni,
      Corynebacterium diphteriae, moraxella,
      Mycoplasma pneumoniae, coxiella, chlamydiae, legionella,
      Treponema pallidum, Borrelia burgdorferi, leptospires,
      Propionibacterium acnes, actinomyces, eubacterium, porphyromonas, mobiluncus
      2/ Espces modrment sensibles :
      L’antibiotique est modrment actif in vitro. Des rsultats cliniques satisfaisants peuvent tre observs lorsque les concentrations de l’antibiotique au site de l’infection sont suprieures la CMI.
      Haemophilus influenzae* et parainfluenzae, Neisseria gonorrhoeae, Vibrio, Ureaplasma urealyticum
      Mycobacterium avium.
      * Haemophilus influenzae : l’activit de la 14-hydroxy-clarithromycine est suprieure celle de la clarithromycine. Des travaux raliss in vitro ont suggr une activit additive de la 14-hydroxy-clarithromycine et de la molcule mre vis–vis d’Haemophilus influenzae.
      3 / Espces rsistantes (CMI suprieure 4 mg/l) :
      Au moins 50 % des souches de l’espce sont rsistantes (R)
      Staphylocoques mticilline-rsistants, entrobactries, Pseudomonas, Acinetobacter,
      Mycoplasma hominis, Nocardia,
      Fusobacterium, Bacteroides fragilis.
      4/ Espces inconstamment sensibles :
      Le pourcentage de rsistance acquise est variable. La sensibilit est donc imprvisible en l’absence d’antibiogramme.
      Streptococcus pneumoniae, S. aureus, Entrocoques, Campylobacter coli, Peptosptreptococcus, Clostridium perfringens,
      H. pylori*
      * L’radication de Helicobacter pylori s’accompagne d’une cicatrisation et d’une rmission prolonge de la maladie ulcreuse gastro-duodnale.
      L’radication bactriologique n’est obtenue des taux satisfaisants que par l’association de deux antibiotiques un anti-scrtoire.
      La Clarithromycine possde une activit in vitro et in vivo sur T.gondii.
      NB : certaines espces bactriennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.
      En France, en 1995, 30 40% des Pneumocoques sont rsistants l’ensemble des macrolides, voire plus de 50% pour les pneumocoques de sensibilit diminue la pnicilline.
      * Proprits pharmacocintiques :
      Absorption :
      L’antibiotique est retrouv dans le srum ds la 60me minute. Aprs prise unique de 250 mg, le pic srique se situe vers 1.7 heure pour la clarithromycine et 2.2 heures pour son mtabolite 14-hydroxyl. La biodisponibilit absolue est de 55%. L’absorption du comprim n’est pas influence par la prise d’aliments.
      Distribution :
      Les concentrations sriques de la molcule mre et du mtabolite, ainsi que l’activit antibactrienne totale (dosage microbiologique), chez le sujet normal l’tat d’quilibre (vers J4) aprs prises rptes, sont les suivantes (coefficient d’accumulation : 1.5 2).
      Pour une dose de 250 mg deux fois par jour :
      -Cmax* de la clarithromycine = 0.9 microg/ml,
      -Cmax* de la 14-OH clarithromycine = 0,6 microgrammes/ml
      -Cmax** Activit biologique = 1,5 microgrammes/ml
      Pour une dose de 500 mg deux fois par jour :
      -Cmax* de la clarithromycine = 2,4 microg/ml,
      -Cmax* de la 14-OH clarithromycine = 0,66 microgrammes/ml
      -Cmax** Activit biologique = 2,8 microgrammes/ml
      *: dosage par HPLC
      **: dosage par mthode microbiologique.
      En administration rpte, la 12me heure, les concentrations rsiduelles sont d’environ 0.2 microg/ml aprs 250 mg et 0.7 microg/ml aprs 500 mg. A la dose de 250 mg, la demi-vie d’limination de la clarithromycine est de 3.8 heures, et celle de la 14-hydroxy-clarithromycine, de 5.8 heures. Aprs prises rptes, l’tat d’quilibre est atteint le 4me jour.
      Liaison aux protines :
      Le pourcentage de liaison aux protines sriques de la clarithromycine varie de 72 67%, et celui du mtabolite actif est de 57 48%, en fonction des concentrations plasmatiques.
      Diffusion tissulaire :
      Le volume de distribution est d’environ 2 4 l/kg. Aprs 5 doses de 250 mg, des concentrations de 8.8 microg/ml sont atteintes dans le poumon, 1.11 microg/ml dans les amygdales et environ 0.9 microg/ml dans les liquides interstitiels.
      Les macrolides pntrent et s’accumulent dans les phagocytes (polynuclaires neutrophiles, monocytes, macrophages pritonaux et alvolaires). Les concentrations intraphagocytaires sont leves chez l’homme. Ces proprits expliquent l’activit de la clarithromycine sur les bactries intracellulaires.
      La clarithromycine et la 14-hydroxy-clarithromycine passent dans le lait maternel. Le rapport des concentrations aux taux plasmatiques est respectivement de 24 et de 63%.
      Biotransformation :
      La clarithromycine est biotransforme en 3 mtabolites : la descladinosyl-clarithromycine, la N-dmthyl-clarithromycine et le driv 14-hydroxyl. Ce dernier mtabolite est prdominant tant au plan quantitatif que qualitatif puisqu’il possde une activit antibactrienne propre. Le mtabolisme de la clarithromycine est saturable aux posologies leves. L’augmentation des posologies et la multiplication des prises entranent une augmentation des concentrations plasmatiques de la clarithromycine proportionnellement plus importante que celle des doses et une diminution de la fraction de 14-hydroxy-clarithromycine ( l’tat d’quilibre, les concentrations plasmatiques de la 14-hydroxy-clarithromycine sont d’environ 2/3 de celles de la molcule mre aprs 250 mg x 2, et d’environ 27% aprs 500 mg x 2).
      Excrtion :
      La clarithromycine est excrte par le foie et le rein ;
      – chez l’homme, aprs une dose unique de 250 mg per os, 37.9% de la dose sont excrts dans les urines, dont 18.4% sous forme de clarithromycine et 13.7% sous forme de driv 14-hydroxyl. Quelle que soit la dose, la clarithromycine libre et le driv 14-hydroxyl reprsentent l’essentiel de l’excrtion urinaire de la clarithromycine,
      – l’limination fcale d’une dose unique de 250 mg est de 40.2%, la molcule mre reprsentant 4.4% de la dose. L’essentiel de la clarithromycine est limin sous forme de mtabolites,
      – l’augmentation des doses accrot l’limination urinaire ainsi que la fraction de clarithromycine inchange.
      En cas d’insuffisance rnale, l’excrtion de la clarithromycine et surtout de la 14-hydroxy-clarithromycine est diminue, avec une lvation des concentrations maximales, des concentrations rsiduelles, des surfaces sous courbes et de la quantit de la 14-hydroxy-clarithromycine forme. Lorsque la clairance est infrieure 30 ml/minute, la demi-vie d’limination est multiplie par 3 pour la clarithromycine, et multiplie par 4 pour la 14-hydroxy-clarithromycine, avec un risque d’accumulation important.
      En cas d’insuffisance hpatique, la formation de 14-hydroxy-clarithromycine est diminue, ses concentrations sriques et ses surfaces sous courbes rduites. Cependant, il existe une augmentation de l’limination rnale de la clarithromycine et il n’y a pas d’accumulation.
      Chez le sujet g ( suprieur 65 ans), il existe une augmentation des Cmax et des concentrations rsiduelles, lie un allongement de la demi-vie de la clarithromycine ( suprieur 7.7 h) et surtout du mtabolite 14-hydroxyl (14 h). Les surfaces sous courbes des concentrations plasmatiques de clarithromycine sont double de celles observes chez le sujet adulte jeune.

    1. ***
      – Traitement curatif des infections Mycobacterium avium chez les patients infects par le VIH.
      – En association un autre antibiotique (amoxicilline ou imidazol), et un antiscrtoire, radication de Helicobacter pylori en cas de maladie ulcreuse gastroduodnale (aprs preuve endoscopique de la lsion et de l’infection).
      – Exacerbations des bronchites chroniques.
      – Sinusites aigus. Compte tenu du profil microbiologique de ces infections, les macrolides sont indiqus lorsqu’un traitement par une bta-lactamine est impossible.
      – Pneumopathies communautaires chez des sujets :
      . sans facteurs de risques,
      . sans signes de gravit clinique,
      . en l’absence d’lments cliniques vocateurs d’une tiologie pneumococcique.
      En cas de suspicion de pneumopathie atypique, les macrolides sont indiqus quels que soient la gravit et le terrain.
      Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation approprie des antibactriens.
    2. INFECTION A MYCOBACTERIES ATYPIQUES
    3. INFECTION A HELICOBACTER PYLORI
    4. BRONCHITE CHRONIQUE
    5. SINUSITE AIGUE
    6. PNEUMONIE BACTERIENNE

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    4. DIARRHEE
    5. CANDIDOSE BUCCALE
    6. GLOSSITE
    7. STOMATITE
    8. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    9. REACTION CUTANEE BULLEUSE
      Des racions cutanes bulleuses, dont d’exceptionnels rythmes polymorphes, syndromes de Stevens-Johnson et syndromes de Lyell, ont t rapportes.
    10. ERYTHEME POLYMORPHE (EXCEPTIONNEL)
    11. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON
    12. SYNDROME DE LYELL
    13. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Transitoire ( ASAT- ALAT).
    14. HEPATITE CHOLESTATIQUE (EXCEPTIONNEL)
    15. ACOUPHENE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ADMINISTRATION PROLONGEE

      Des cas d’acouphnes, en rgle gnrale rversibles l’arrt du traitement, ont t rapports une posologie de 1 g par jour, ou suprieure 1 g par jour sur des priodes de traitement prolonges.

    16. ACUITE AUDITIVE(DIMINUTION)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ADMINISTRATION PROLONGEE

      Des cas d’hypoacousie, en rgle gnrale rversibles l’arrt du traitement, ont t rapports une posologie de 1 g par jour, ou suprieure 1 g par jour sur des priodes de traitement prolonges.

    17. DYSGUEUSIE (RARE)
    18. COLORATION DES DENTS
      Bien qu’aucun lien n’ait pu tre formellement tabli, des cas de colorations dentaires, habituellement rversibles avec des soins dentaires, ont t rapports.

    1. MISE EN GARDE
      Des colites pseudo-membraneuses ont t observes avec pratiquement tous les agents anti-infectieux dont les macrolides. Elles peuvent tre de gravit modre ou engager le pronostic vitale.
      Dans le traitement des infections Mycobacterium avium chez les patients VIH (+) et afin de limiter l’mergence de souches rsistantes, la clarithromycine doit tre utilise :
      – en association d’autres antibiotiques et non pas en monothrapie,
      – uniquement en traitement curatif, du fait galement de l’absence d’tude en prophylaxie.
      Ne pas associer d’autres mdicaments ototoxiques, et en particulier les aminosides.
    2. ATTEINTE AUDITIVE
      Un audiogramme devra tre ralis et une modification posologique envisage en cas de survenue d’acouphnes ou de baisse de l’acuit auditive.
    3. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
      L’administration de la clarithromycine n’est pas recommande. Si elle est ncessaire, elle justifie alors une surveillance rgulire des tests hpatiques.
    4. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      L’allongement de la demi-vie impose soit un espacement des doses, soit une rduction de la posologie. (clairance de la cratinine infrieur 30 ml/minute).
    5. SUJET AGE
      L’allongement de la demi-vie et l’augmentation des surfaces sous courbes des concentrations plasmatiques n’impliquent thoriquement pas de surveillance particulire, compte tenu de la dure courte du traitement.
    6. ALLAITEMENT
      Bien qu’il n’y ait pas de donnes sur le passage de la clarithromycine dans le lait maternel, le fait que les macrolides qui ont t tudis passe dans le lait, indique que le passage de la clarithromycine dans le lait maternel ne peut tre exclu.
      L’allaitement est possible en cas de prise de clarithromycine, toutefois, interrompre l’allaitement (ou le mdicament) en cas de survenue de troubles digestifs chez le nouveau-n.
      En cas de prise de cisapride par le nouveau-n ou le nourrisson allait, l’administration de clarithromycine la mre est contre-indiqu par mesure de prudence, en raison du risque potentiel d’interaction chez l’enfant (torsades de pointes).

    1. HYPERSENSIBILITE AUX MACROLIDES
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (absolue)
      Associations contre-indiques
      – Vasoconstricteurs de l’ergot de seigle (dihydroergotamine, ergotamine) (voie orale et nasale) par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine :
      Ergotisme avec possibilit de ncrose des extrmits (diminution de l’limination hpatique des alcalodes de l’ergot de seigle).
      – Cisapride : par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine.
      Risque major de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes : diminution du mtabolisme hpatique du cisapride.
      Allaitement
      Bien qu’il n’y ait pas de donnes concernant le passage de la clarithromycine dans le lait maternel, le fait que les macrolides qui ont t tudis passent dans le lait, indique que le passage de la clarithromycine dans le lait maternel ne peut tre exclu.
      En cas de prise de cisapride par le nouveau-n ou le nourrisson allait, l’administration de clarithromycine la mre est contre-indique par mesure de prudence, en raison du risque potentiel d’intraction chez l’enfant (torsades de pointes).
      – Pimozide : risque major de troubles de rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe.
      -Astmizole, bastine : risque major des troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes : diminution du mtabolisme hpatique de l’bastine par la clarithromycine.
    3. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Associations dconseilles :
      – Bromocriptine, cabergoline : par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine.
      Augmentation des concentrations plasmatiques de bromocriptine ou de cabergoline avec accroissement possible de l’activit antiparkinsonnienne ou apparition de signes de surdosage.
      – Tacrolimus : risque d’augmentation des concentrations plasmatiques de l’immunosuppresseur et de la cratininmie par inhibition du mtabolisme hpatique de l’immunodpresseur.
      Toltrodine : augmentation des concentrations de toltrodine chez les mtaboliseurs lents, avec risque de surdosage.
    4. GROSSESSE (relative)
      Les tudes effectues chez l’animal ont mis en vidence un effet malformatif dans une espce et dose leve.
      En clinique, Il n’existe pas actuellement de donnes suffisamment pertinentes pour valuer un ventuel effet malformatif ou foetotoxique de la clarithromycine lorsqu’elle est administre pendant la grossesse.
      En consquence, l’utilisation de la clarithromycine est dconseille pendant la grossesse. Cet lment ne constitue pas l’argument pour conseiller une interruption systmatique de grossesse, mais conduit une attitude de prudence et une surveillance prnatale soigneuse.

    Traitement

    En cas de surdosage : lavage gastrique et traitement symptomatique.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie :
    Exacerbations de bronchites chroniques, sinusites aigus, pneumopathies communautaires : 1 000 mg/jour, soit 1 comprim matin et soir.
    Infections Mycobacterium avium chez les patients VIH (+) :
    – Sujet > 50 kg : 2 000 mg/jour.
    – Sujet < 50 kg : 1 500 mg/jour, en 2 prises par jour.
    Eradication de Helicobacter pylori en cas de maladie ulcreuse gastroduodnale :
    Sont recommands les schmas posologiques suivants :
    – clarithromycine 500 mg matin et soir, associe amoxicilline 1 000 mg
    matin et soir, et omprazole 20 mg matin et soir, pendant 7 jours,
    ou
    – clarithromycine 500 mg matin et soir, associe amoxicilline 1 000 mg matin et soir, et lansoprazole 30 mg matin et soir, pendant 7 jours.
    – L’amoxicilline peut tre remplace par
    le mtronidazole ou le tinidazole la posologie de 500 mg matin et soir.

    La trithrapie sera suivie :
    – pour le traitement dbut par l’omprazole : par 20 mg d’omprazole par jour pendant 3 semaines supplmentaires en cas d’ulcre duodnal volutif,
    ou 3 5 semaines supplmentaires en cas d’ulcre gastrique volutif ;
    – pour le traitement dbut par le lansoprazole : par 30 mg de lansoprazole par jour pendant 3 semaines en cas d’ulcre duodnal volutif, ou 3 5 semaines supplmentaires en cas
    d’ulcre gastrique volutif.
    L’efficacit du traitement dpend du respect du schma posologique, notamment de la prise de la trithrapie durant les 7 premiers jours.
    Insuffisance rnale : pour des valeurs de la clairance de la cratinine 30 ml/min, il
    peut tre recommand de rduire la posologie de moiti, avec une seule administration quotidienne. Dans l’infection Mycobacterium avium, il est recommand d’utiliser une posologie de 1 000 mg/j.
    Insuffisance hpatique : en dehors du traitement des
    infections Mycobacterium avium chez les patients VIH (+) pour lequel il est ncessaire de rduire la posologie 1 000 mg/j, l’emploi de la clarithromycine n’est pas recommand. Dans les autres cas, et si l’emploi de la clarithromycine est ncessaire
    (cf Mises en garde et Prcautions d’emploi), il ne semble pas utile de modifier les posologies.
    Sujet g : lorsque la fonction rnale est nettement diminue, il peut tre prudent de rduire la posologie.


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