GAIARSOL sirop

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GAIARSOL sirop

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 1/10/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SIROP

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : MONIN CHANTEAUD

    Produit(s) : GAIARSOL

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1963
    2. octroi d’AMM 1/1/1963

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 304206-8

    1
    flacon(s)
    200
    ml
    verre

    Evénements :

    1. inscription SS 1/1/1962


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    35 %

    Prix Pharmacien HT : 7.71 F

    Prix public TTC : 13.60 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF OPIACE ASSOCIE A UN EXPECTORANT (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05F-A02.
      Codéine : alcaloïde de l’opium, antitussif d’action centrale, ayant un effet dépresseur sur les centres respiratoires.
      Sulfogaïacol : expectorant.

    1. ***
      Traitement symptomatique des toux non productives gênantes.
      Remarque : l’association d’un antitussif et d’un expectorant n’est pas justifiée.
    2. TOUX SECHE

    1. CONSTIPATION
      Possibilité. Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    2. SOMNOLENCE
      Possibilité. Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    3. VERTIGE
      Possibilité. Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    4. NAUSEE
      Possibilité. Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    5. VOMISSEMENT
      Possibilité. Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    6. BRONCHOSPASME (RARE)
    7. REACTION CUTANEE (RARE)
      Allergique.
    8. DEPRESSION RESPIRATOIRE (RARE)
    9. DEPENDANCE
      Aux doses suprathérapeutiques : il existe un risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l’arrêt brutal, qui peut être observé chez l’utilisateur et chez le nouveau-né de mère intoxiquée à la codéine.
    10. SYNDROME DE SEVRAGE
      Aux doses suprathérapeutiques : il existe un risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l’arrêt brutal, qui peut être observé chez l’utilisateur et chez le nouveau-né de mère intoxiquée à la codéine.

    1. MISE EN GARDE
      – Un traitement prolongé à forte dose peut conduire à un état de dépendance.

      – Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire sont à respecter.

      – Il est illogique d’associer un expectorant à un antitussif.

      – Avant priescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.

      – Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.

      – L’attention des sportifs sera ttirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    2. GROSSESSE
      – Codéine : les données épidémiologiques actuelles n’ont pas mis en évidence un effet malformatif particulier dans l’espèce humaine.

      Cependant, en fin de grossesse, des posologies élevées de codéine sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

      De plus, il existe un risque de syndrome de sevrage chez le nouveau-né de mère toxicomane.

      – Sulfogaïacol : il n’existe pas de données cliniques et animales concernant le sulfogaïacol au cours de la grossesses. Toutefois, à ce jour, aucun effet malformatif particulier n’a été rapporté chez la femme enceinte.

      – Compte tenu de ces données, il est préférable de ne pas administrer ce médicament pendant toute la durée de la grossesse.
    3. ALLAITEMENT
      La codéine passe dans le lait maternel.

      Quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrites chez des nourrisssons, après ingestion par les mères de codéine à doses supra-thérapeutiques.

      Par ailleurs, il n’existe pas de données cliniques et cinétiques concernant le sulfogaïacol pendant l’allaitement.

      Compte tenu de ces données, éviter l’administration pendant l’allaitement.
    4. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament.
    5. ALCOOL
      La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    6. HYPERTENSION INTRACRANIENNE
      Peut être majorée.
    7. DIABETE
      Tenir compte de la teneur en saccharose : 11.1 g par cuillère à soupe, 1.8 g par cuillère-mesure.
    8. REGIME HYPOGLUCIDIQUE
      Tenir compte de la teneur en saccharose : 11.1 g par cuillère à soupe, 1.8 g par cuillère-mesure.

    1. ASTHME
      Toux de l’asthmatique.
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
      Quel que soit son degré.
    3. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT

    Traitement

    – Signes chez l’adulte :
    . dépression aiguë des centres respiratoires (cyanose, bradypnée)
    . somnolence, rash, vomissements
    . prurit
    . ataxie
    – Signes chez l’enfant : (seuil toxique : deux mg/kg en prise unique)
    . bradypnée, pauses respiratoires
    .
    myosis
    . convulsions
    . flush et oedème du visage
    . éruption urticarienne, collapsus,
    . rétenition d’urine.
    – Traitement :
    . Assistance respratoire
    . naloxone en cas d’intoxication massive.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte et l’enfant de plus de seize kg (quatre ans).
    La posologie usuelle est de :
    – Chez l’adulte : une à deux cuillères à soupe par prise à renouveler au bout de six jeures en cas de besoin, sans dépasser la dose de
    huit cuillères à soupe par jour.
    – Chez le sujet âgé ou en cas d’insuffisance hépatique : la posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l’adulte, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la
    tolérance et des besoins.
    – Chez l’enfant :
    A titre indicatif :
    . enfant de trente à cinquante kg (environ de dix à quinze ans) : deux à trois cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de six heures en cas de besoin sans dépasser la dose de douze
    cuillères-mesure par jour.
    . enfant de vingt à trente kg (environ six à dix ans) : deux cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de six heures en cas de besoin, sans dépasser la dose de huit cuillères-mesure par jour.
    . enfant de seize à vingt
    kg (environ quatre à six ans) : une cuillère-mesure par prise, à renouveler au bout de six heures en cas de besoin, sans dépasser la dose de trois cuillères-mesure par jour.
    Les prises devront être espacées de ssix heures au minimum.
    Les âges
    approximatifs en fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
    .
    Mode d’Emploi :
    Une cuillère-mesure (deux virgule cinq ml) contient deux virgule cinq mg de codéine.
    Une cuillère à soupe (quinze ml) contient quinze mg de codéine.
    Le traitement
    symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux. En l’absence d’autre prise médicamenteuse apportant de la codéine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne de codéine à ne pas dépasser est de :

    cent vingt mg chez l’adulte
    – un mg/kg chez l’enfant de vingt à cinquante kg
    – zéro virgule cinq mg/kg chez l’enfant de seize à vingt kg.


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