URONEFREX 250 mg gélules (Hôp)
URONEFREX 250 mg gélules (Hôp)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 14/12/1999
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : GELULES
Etat : commercialisé
Laboratoire : CASSENNE MARIONProduit(s) : URONEFREX
Evénements :
- octroi d’AMM 13/10/1987
- publication JO de l’AMM 13/1/1988
- mise sur le marché 15/9/1988
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 556224-0
1
flacon(s)
100
unité(s)
verre brun
vertEvénements :
- agrément collectivités 26/2/1988
Lieu de délivrance : hôpitaux
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : liste I
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- ACETOHYDROXAMIQUE ACIDE 250 mg
acide acetohydroxamique
- ETHYLCELLULOSE excipient
- SILICE COLLOIDALE excipient
- TALC excipient
- STEARATE DE MAGNESIUM excipient
- CELLULOSE MICROCRISTALLINE excipient
- LITHOLYTIQUE URINAIRE (principale)
Bibliographie : Classe ATC : G04B-C.
S’oppose à la formation de cristaux de struvite (calculs phospho-amoniaco-magnésiens) et d’apatite (calculs de phosphate de calcium) par les propriétés pharmacologiques énumérées ci-dessous :
– inhibe l’uréase bactérienne.
– diminue l’ammoniurie.
– s’oppose à l’alcalinisation du ph urinaire.
-
– Infections chroniques du tractus urinaire par germes produisant de l’uréase et induisant des calculs coralliformes (struvite et apatite) .
Le produit doit être dans tous les cas co-prescrit avec l’antibiothérapie indiquée par l’antibiogramme.
Il ne doit pas être substitué au traitement classique des calculs de struvite (exérèse chirurgicale et antibiothérapie), lorsque la chirurgie et/ou la lithotripsie sont possibles.
Il ne sera employé que chez les patients non curables ou chez les patients opérés ou traités par lithotripsie présentant des calculs résiduels en continuelle formation.
- CEPHALEE (FREQUENT)
Peuvent disparaître en 48 heures. - TREMBLEMENT (FREQUENT)
Peut disparaître en 48 heures. - NAUSEE (FREQUENT)
Troubles gastro-intestinaux sans gravité, cessant avec une adaptation de la posologie ou à l’arrêt du traitement.
Ils peuvent être les premiers signes d’une anémie hémolytique.
IIs sont d’autant plus fréquents que la posologie est élevée. - VOMISSEMENT (FREQUENT)
Troubles gastro-intestinaux sans gravité, cessant avec une adaptation de la posologie ou à l’arrêt du traitement.
Ils peuvent être les premiers signes d’une anémie hémolytique.
IIs sont d’autant plus fréquents que la posologie est élevée. - ANOREXIE (FREQUENT)
Troubles gastro-intestinaux sans gravité, cessant avec une adaptation de la posologie ou à l’arrêt du traitement.
Ils peuvent être les premiers signes d’une anémie hémolytique.
IIs sont d’autant plus fréquents que la posologie est élevée. - THROMBOPHLEBITE (RARE)
Ou thrombophlébite. - ANEMIE HEMOLYTIQUE (RARE)
Dans 4% des cas avec des posologies élevées ou chez des patients insuffisants rénaux chroniques. - RASH (RARE)
- TROUBLE NEUROPSYCHIQUE
A posologie élevée, l’absorption d’alcool peut produire des effets psychiatriques (dépression, anxiété).
- SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
– Faire pratiquer un hémogramme complet (vérifier les réticulocytes après deux semaines de traitement, puis tous les trois mois pendant tout le traitement) .
– Faire un suivi des fonctions hépatiques et vérifier que la créatininémie est inférieure ou égale à 25mg/l. - BOISSONS ALCOOLISEES
- ***
Patients justiciables d’une exérèse chirurgicale ou d’une lithotripsie.
Patients dont l’infection urinaire n’est pas due à des germes uréase +.
Patients dont l’infection peut être contrôlée par antibiothérapie. - ANTECEDENTS HEMATOLOGIQUES
antécédents d’anémie. - ANTECEDENTS THROMBO-PHLEBITIQUES
- INSUFFISANCE RENALE
Chez l’insuffisant rénal et/ou le sujet traité pour la lithiase rénale on observe une diminution de l’élimination urinaire de l’aah inchangé, une légère augmentation de l’acétamide (14%) et une forte augmentation de l’élimination de l’air expiré.
De même, l’acide acétohydroxamique est contre-indiqué chez les patients dont le taux de créatininémie est supérieur ou égal à 25mg/l. - GROSSESSE
Et la femme en âge d’être enceinte et dont la contraception est imparfaite.
Traitement
Le surdosage pourrait se manifester par : anorexie, malaise, léthargie, tremblements, anxiété, nausées et vomissements avec graves réactions hématologiques, ce qui impose l’arrêt du traitement et un transfert en milieu hospitalier spécialisé.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Adultes : dose moyenne : cinq cents à sept cent cinquante milligrammes par vingt quatre heures en trois prises.
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Posologie Particulière :
Enfant de plus de huit ans et de poids corporel d’environ vingt cinq kilogrammes : deux cent
cinquante milligrammes par vingt quatre heures en deux prises.
Posologie maximale par vingt quatre heures : quinze milligrammes par kilogramme .
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Mode d’Emploi :
A utiliser de préférence avant les repas.