GLIFANAN 500 mg suppositoires (arrêt de commercialisation)

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GLIFANAN 500 mg suppositoires (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 1/10/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – R 1707


    Forme : SUPPOSITOIRES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : ROUSSEL DIAMANT

    Produit(s) : GLIFANAN

    Evénements :

    1. mise sur le marché 13/1/1969
    2. octroi d’AMM 26/2/1974
    3. publication JO de l’AMM 20/2/1976
    4. retrait d’AMM 12/10/1995

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 304382-0

    1
    boîte(s)
    8
    unité(s)

    Evénements :

    1. agrément collectivités 6/8/1968
    2. inscription SS 6/9/1968
    3. arrêt de commercialisation 17/1/1992
    4. radiation SS 31/1/1996
    5. radiation collectivités 24/3/1996


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    A L’ABRI DE LA CHALEUR

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANALGESIQUE (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02B-G03.


    1. Traitement symptomatique des affections douloureuses.
      L’utilisation de ce médicament ne se justifie que lorsque son activité est susceptible de lui conférer un avantage face à d’autres antalgiques.

    1. REACTION ALLERGIQUE
      Accidents allergiques aigüs d’allure anaphylactique (environ trente minutes après la prise) pouvant associer : des fourmillements et une sensation de cuisson des extrémités et du visage, un érythème généralisé prurigineux, une urticaire, un oedème de Quincke, une sensation de malaise voire des lipothymies, une hypotension artérielle pouvant aller jusqu’au collapsus véritable.
      Ces troubles peuvent se produire chez un sujet préalablement sensibilisé, sans antécédents allergiques connus, avec un seul suppositoire.
    2. DYSPNEE
      D e type asthmatiforme.
    3. INSUFFISANCE RENALE
      Avec diurèse conservée ou oligo-anurie survenant essentiellement lorsque la prise de 400 mg a été dépassée.
    4. LITHIASE URINAIRE
      Contenant des métabolites de la glafénine apres un usage prolongé et/ou chez des sujets ayant des antécédents de lithiase rénale.
    5. HEPATITE MIXTE (EXCEPTIONNEL)
      Nécessitant l’arrêt immédiat du traitement des cas exceptionnels d’hépatite ont été rapportés. En cas de douleur abdominale, de fièvre inexpliquée, d’asthénie, il est recommandé de doser les transaminases. Si celles-ci sont élevées, et à plus forte raison en cas d’ictère, il convient de ne plus jamais administrer le produit.
    6. ANEMIE HEMOLYTIQUE
    7. FIEVRE
    8. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    9. DOULEUR ABDOMINALE

    1. REACTION ALLERGIQUE
      Mise en garde :

      Des réactions d’allure allergique, cutanéomuqueuses ou générales pouvant aller jusqu’au choc sont possibles.

      Souvent elles ont été précédées par la survenue lors d’une prise antérieure, de symptômes allergiques mineurs : fourmillements a niveau des paumes des mains ou de la plante des pieds, rougeur brusque du visage et du décolleté, éruption cutanée, picotements larynges, sensation de malaise.

      Ces antécédents, récherchés systématiquement par l’interrogatoire avant toute nouvelle prescription, contre-indiquent la poursuite ou la reprise de la thérapeutique par la glafénine, seule ou en association (adalgur), ou par des substances de formule proche (floctafénine, antrafénine) en raison d’une possible sensibilisation croisée avec ces dernières.

      Atteintes hépatiques :

      Il en est de même de l’apparition d’un ictère ou d’une élévation des transaminases lors d’un traitement antérieur.

      En présence de réactions allergiques ou hépatiques il est recommandé d’arrêter immédiatement le traitement et de ne jamais le reprendre ultérieurement. La possibilité de ces troubles devra être signalée au malade qui devra, dans ce cas, arrêter le traitement.
    2. FORTES DOSES
      Ne jamais dépasser deux suppositoires par jour.
    3. BOISSONS ALCOOLISEES
      A éviter.
    4. INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
      En cas d’insuffisance rénale chronique il n’y a pas d’accumulation sanguine des métabolites de la glafénine, et la demi-vie d’élimination est légèrement augmentée (4 heures en moyenne) .

      Il n’y a pas lieu de modifier la posologie quotidienne.
    5. SURVEILLANCE HEPATIQUE
      Des cas exceptionnels d’hépatite ont été rapportés. En cas de douleur abdominale, de fièvre inexpliquée, d’asthénie, il est recommandé de doser les transaminases. Si celles-ci sont élevées et à plus forte raison en cas d’ictère, il convient de ne plus jamais administrer le produit.
    6. TRAITEMENT ITERATIF
      Eviter les prises occasionnelles itératives, facteur de sensibilisation.
    7. CONDITIONS D’UTILISATION DU PRODUIT
      Boire abondamment pendant le traitement afin d’éviter des cristallisations du produit dans les voies urinaires.
    8. GROSSESSE
      Les études réalisées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence de données précises, ces résultats expérimentaux ne permettent pas de préjuger des conséquences dans l’espèce humaine; cependant, à ce jour, aucun effet malformatif n’est rapporté à la glafénine.
    9. ALLAITEMENT
      En raison d’un passage dans le lait, l’allaitement est déconseillé.

    1. HYPERSENSIBILITE A LA GLAFENINE
      Pure ou en association (adalgur) ou à des substances apparentées (floctafénine, antrafénine) .
    2. ASSOCIATION AUX BETABLOQUANTS
    3. INSUFFISANCE CARDIAQUE SEVERE
    4. CARDIOPATHIES ISCHEMIQUES

    Traitement

    – Symptômes cliniques : insuffisance rénale oligo-anurique ou avec diurèse conservée.
    – Traitement : traitement symptomatique en milieu hospitalier.

    Voies d’administration

    – 1 – RECTALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Adulte : deux suppositoires par jour
    – Enfant à partir de trois ans : un suppositoire par jour.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    – Ne jamais administrer à un sujet ayant déjà eu un effet indésirable à une fénine (glafénine, floctafénine,
    antrafénine) ou à l’adalgur.
    – Ne jamais dépasser quatre cents milligrammes par prise chez l’adulte et deux cents milligrammes par prise chez l’enfant.


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