LIBRADOL 500 mg comprimés sécables (arrêt de commercialisation)

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LIBRADOL 500 mg comprimés sécables (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 31/8/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES SECABLES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : ROCHE NICHOLAS S.A.

    Produit(s) : LIBRADOL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 28/1/1988
    2. mise sur le marché 15/2/1988
    3. publication JO de l’AMM 2/4/1988
    4. arrêt de commercialisation 1/4/1994

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 330461-1

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    16
    unité(s)
    PVC/alu

    Evénements :

    1. arrêt de commercialisation 1/4/1994


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    A TEMPERATURE AMBIANTE

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 10.95 F

    Prix public TTC : 18.20 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANALGESIQUE-ANTIPYRETIQUE (ANILIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02B-E01.


    1. Traitement symptomatique des affections douloureuses et/ou fébriles.

    1. RASH
    2. ERYTHEME
    3. URTICAIRE
    4. THROMBOPENIE (EXCEPTIONNEL)

    1. INSUFFISANCE RENALE
      Maladie des reins.
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Prise d’un autre médicament dans la même période.
    3. GROSSESSE
      – Chez l’animal, il n’existe pas d’étude de tératogénèse.

      – Chez la femme :

      – Premier trimestre : une étude épidémiologique prospective, portant sur quelques centaines de femmes n’a pas mis en évidence d’effet tératogène.

      – Aprés le premier trimestre cet analgésique non anti-inflammatoire ne parait pas faire courir de risque foetal lors de la prise au cours des 2ème et 3ème trimestre.
    4. ALLAITEMENT
    5. RECOMMANDATION
      – Au bout de cinq jours si les troubles persistent.

      – En cas de survenue de tout nouveau signe après la prise du médicament.

    1. HYPERSENSIBILITE AU PARACETAMOL
    2. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
    3. ENFANTS DE MOINS DE 7 ANS

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      Lors d’examens paracliniques, la prise de paracétamol peut fausser le dosage de l’acide urique sanguin par la méthode à l’acide phosphotungstique, et le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-péroxydase.

    Traitement

    – Symptômes : nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales, apparaissant généralement dans les 24 premières heures. Un surdosage à partir de 10g de paracétamol (150 mg/kg de poids corporel chez l’enfant) peut provoquer une cytolyse
    hépatique susceptible d’aboutir à une nécrose complète et irréversible, se se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu’au coma et mort.
    Simultanément, on observe une augmentation
    des transaminases hépatiques, de la lactico-déshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l’ingestion.
    – Conduite d’urgence :
    . transfert immédiat en milieu hospitalier . évacuation
    rapide du produit ingéré par lavage gastrique . avant de commencer le traitement prélever un tube de sang, pour faire le dosage plasmatique du paracétamol.
    . le traitement du surdosage comprend l’administration aussi précoce que possible de l’antidote
    n-acétylcystéine par voie i.v.
    ou voie orale, si possible avant la dixième heure.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Enfants de plus de sept ans : vingt à trente milligrammes par kilogramme et par jour à répartir en trois à quatre prises soit :
    . de sept à douze ans : un demi comprimé une à trois fois par jour.
    . de douze à quinze ans : un comprimé
    une à trois fois par jour.
    Adulte et enfant de plus de quinze ans : zéro gramme cinq (0.5) à un gramme par prise, une à trois fois par jour soit un à deux comprimés une à trois fois par jour.
    .
    .
    Posologie Particulière :
    – Posologie maximale par prise
    :
    . de sept à douze ans : un demi comprimé . de douze à quinze ans : un comprimé . adultes : deux comprimés
    – Posologie maximale par jour :
    . de sept à douze ans : un comprimé et demi . de douze à quinze ans : trois comprimés . adultes : six
    comprimés.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    – Les comprimes doivent être avalés sans être croqués avec un grand verre d’eau.
    – Enfants de sept à quinze ans : intervalle minimum entre deux prises :
    quatre heures. Ne pas dépasser la dose maximale de cinquante
    milligrammes par kilogramme et par jour.
    – Adultes : les prises doivent être espacées d’au moins quatre heures (huit heures en cas d’insuffisance rénale) .
    – Eviter l’administration prolongée.


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