DERMICLONE 1 pour cent crème (arrêt de commercialisation)
DERMICLONE 1 pour cent crème (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 23/9/1999
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code expérimentation – LL 801
Forme : CREME
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : SOEKAMI-LEFRANCQProduit(s) : DERMICLONE
Evénements :
- octroi d’AMM 13/11/1968
- publication JO de l’AMM 8/6/1969
- mise sur le marché 10/10/1969
- validation de l’AMM 26/12/1995
- arrêt de commercialisation 1/4/1997
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 302951-8
1
tube(s)
35
g
alu verniEvénements :
- agrément collectivités 7/5/1969
- inscription SS 7/5/1969
Lieu de délivrance : officine et hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : liste IRéglementation des prix :
remboursé
35 %
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Par poids : 100
g- HYDROCORTISONE ACETATE 1.116 g
Quantité correspondant à 1 g d’hydrocortisone
- ETHYLENE GLYCOL STEARATE excipient
- GLYCERIDES POLYGLYCOLYSES excipient
- PARAFFINE LIQUIDE excipient
- PARFUM excipient
- HUILE DE LANOLINE excipient
- SORBIQUE ACIDE excipient
- PARAHYDROXYBENZOATE DE METHYLE SODE conservateur (excipient)
- EAU PURIFIEE excipient
- DERMOCORTICOIDE D’ACTIVITE FAIBLE (CLASSE IV) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : D07A-A02.
Les dermocorticoïdes sont classés en 4 niveaux d’activité selon les tests de vasoconstriction cutané : activité très forte, forte, modérée, faible.
Le Dermiclone crème est d’activité faible.
Actif sur certains processus inflammatoires (par exemple l’hypersensibilité de contact) et l’effet prurigineux qui leur est lié. Vasoconstricteur.
Inhibe la multiplication cellulaire.
- ***
– Dermite séborrhéique faciale.
– Dermatite atopique ou eczéma de contact du visage et des paupières.
– Traitement d’entretien des dermatoses traitées dans un premier temps par des corticoïdes plus actifs.
– Piqûres d’insectes.
Remarque : chaque dermatose doit être traitée par un corticoïde de niveau le mieux approprié en sachant qu’en fonction des résultats on peut être conduit à lui substituer un produit d’activité plus forte ou moins forte sur tout ou partie des lésions. - DERMATITE SEBORRHEIQUE
- ECZEMA
- ATROPHIE CUTANEE (RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
UTILISATION PROLONGEE - TELANGIECTASIE
Condition(s) Favorisante(s) :
UTILISATION PROLONGEEA redouter particulièrement sur le visage.
- VERGETURE (RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
USAGE PROLONGEA la racine des membres notamment et survenant plus volontiers chez les adolescents.
- PURPURA ECCHYMOTIQUE (RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
USAGE PROLONGESecondaire à l’atrophie.
- FRAGILITE CUTANEE (RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
USAGE PROLONGE - DERMATITE PERIORALE (RARE)
Au visage, les corticoïdes peuvent créer une dermite péri-orale. - ACNE ROSACEE(AGGRAVATION) (RARE)
Au visage, les corticoïdes peuvent aggraver un acné rosacée. - RETARD DE CICATRISATION (RARE)
Des plaies atones, des escarres, des ulcères de jambes. - ERUPTION ACNEIFORME (RARE)
- ERUPTION PUSTULEUSE (RARE)
- HYPERTRICHOSE (RARE)
- DEPIGMENTATION DE LA PEAU (RARE)
- INFECTION CUTANEE (RARE)
Des infections secondaires, particulièrement sous pansement occlusif ou dans les plis et des dermatoses allergiques de contact ont été également rapportées lors de l’utilisation de corticoïdes locaux.
- MISE EN GARDE
Un traitement sur de grandes surfaces ou sous occlusion, peut entraîner les effets systémiques d’une corticothérapie générale, particulièrement chez le nourrisson et l’enfant en bas âge. - INFECTION
En cas d’infection bactérienne ou mycosique d’une dermatose corticosensible, faire précéder l’utilisation du corticoïde d’un traitement spécifique. - INTOLERANCE LOCALE
Si une intolérance locale apparaît, le traitement doit être interrompu et la cause doit en être recherchée. - APPLICATION PALPEBRALE
En cas d’application palpébrale, la durée du traitement doit être limitée (risque de glaucome). - GROSSESSE
Aucune étude de tératogénicité n’a été effectuée avec des corticoïdes locaux.
Néanmoins, les études concernant la prise de corticoïdes per os n’ont pas mis en évidence un risque malformatif supérieur à celui observé dans la population générale.
- HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
- INFECTION BACTERIENNE PRIMITIVE
- INFECTION VIRALE PRIMITIVE
- INFECTION FONGIQUE PRIMITIVE
- INFECTION PARASITAIRE PRIMITIVE
- LESIONS ULCEREES
- ACNE
- ACNE ROSACEE
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie usuelle :
– Le traitement doit être limité à une ou deux applications par jour.
.
Mode d’emploi :
– Une augmentation du nombre d’applications quotidiennes risquerait d’aggraver les effets indésirables sans améliorer les effets
thérapeutiques.
– Il est conseillé d’appliquer le produit en touches espacées, puis de l’étaler en massant légèrement jusqu’à ce qu’il soit entièrement absorbé.
– Se laver les mains après l’application.