EFFERALGAN 80 mg poudre effervescente pour solution buvable

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EFFERALGAN 80 mg poudre effervescente pour solution buvable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 24/9/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – DAFALGAN NOURRISSONS 80MG


    Forme : POUDRE EFFERVESCENTE POUR SOLUTION BUVABLE

    unidose

    Usage : nourrisson

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : UPSA

    Produit(s) : EFFERALGAN

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 7/10/1986
    2. mise sur le marché 15/12/1986
    3. publication JO de l’AMM 21/1/1987

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 339053-3

    12
    sachet(s)
    0.50
    g
    papier/alu/PE

    Evénements :

    1. agrément collectivités 29/11/1986
    2. inscription SS 29/11/1986
    3. mise sur le marché 14/9/1992


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    A L’ABRI DE LA CHALEUR
    EVITER L’HUMIDITE

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 5.52 F

    Prix public TTC : 10.20 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANALGESIQUE-ANTIPYRETIQUE (ANILIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02B-E01.

    1. ***
      Traitement symptomatique des douleurs d’intensité légère à modérée et/ou des états fébriles.
    2. DOULEUR
    3. FIEVRE

    1. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)
      se manifestant par de simples rashs cutanés avec érythème ou urticaire et nécessitant l’arrêt du traitement.
    2. THROMBOPENIE (EXCEPTIONNEL)

    1. ASSOCIATION A L’ASPIRINE
      Chez l’enfant, la posologie quotidienne recommandée étant de 60 mg/kg/jour, cette dose ne justifie pas la prescription concomitante d’aspirine.
    2. REMARQUE
      Il existe des dosages plus adaptés à l’enfant à partir de dix kg (soit environ à partir de un an) et à l’adulte.
    3. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      L’excrétion du paracétamol et de ses métabolites s’effectue essentiellement dans les urines. En cas d’insuffisance rénale sévère, les prises doivent être espacées d’au moins huit heures.
    4. REGIME DESODE
      En cas de régime désodé ou hyposodé, tenir compte dans la ration journalière de la présence de sodium : 66 mg par sachet.

    1. HYPERSENSIBILITE AU PARACETAMOL
    2. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l’acide urique sanguin par la méthode à l’acide phosphotungstique, et le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-péroxydase.

    Traitement

    L’intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente) où elle peut être mortelle.
    Symptômes :
    – nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales
    apparaissant généralement dans les 24 premières heures.
    Bien que la forme en poudre pour solution buvable soit un facteur limitant des risques de surdosage, il faut savoir qu’un surdosage à partir de dix g de paracétamol chez l’adulte et150 mg/kg de
    poids corporel en une seule prise chez l’enfant provoque une cytolyse hépatique susceptible d’aboutir à une nécrose complète et irréversible, se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller
    jusqu’au coma et à la mort.
    – Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la lactico déshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l’ingestion.
    Conduite
    d’urgence :
    -Transfert immédiat en milieu hospitalier,
    – Evacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.
    – Avant de commencer le traitement, prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique de paracétamol.
    – Le traitement du surdosage
    comprend l’administration aussi précoce que possible de l’antidote N-acétylcystéine par voie I.V. ou par voie orale avant la dixième heure.
    – Traitement symptomatique.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’enfant jusqu’à seize kg (soit environ jusqu’à quatre ans).
    La dose quotidienne recommandée est fonction du poids du bébé. Elle est de soixante mg/kg/jour, à répartir de préférence en quatre prises, soit quinze mg/kg
    toutes les six heures, voire dix mg/kg toutes les quatre heures.
    A titre indicatif :
    – jusqu’à sept kg (soit environ jusqu’à six mois ) : un sachet à quatre-vingts mg à renouveler en cas de besoin de préférence au bout de six heures, voire quatre heures
    minimum, sans dépasser cinq sachets par jour
    – de sept à dix kg (soit environ de six mois à un an) : un sachet à quatre-vingts mg, à renouveler en cas de besoin de préférence au bout de six heures, voire quatre heures minimum, sans dépasser cinq à six
    sachets par jour
    – de dix à douze kg (soit environ de un à deux ans) : un à deux sachets à quatre-vingts mg, à renouveler en cas de besoin de préférence au bout de six heures, voire quatre heures minimum, sans dépasser six à neuf sachets par jour.
    – de
    douze à seize kg (soit environ de deux à quatre ans) : deux sachets à quatre-vingts mg, à renouveler en cas de besoin de préférence au bout de six heures, voire quatre heures minimum, sans dépasser neuf à douze sachets par jour.
    Les âges approximatifs
    en fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
    * Fréquence d’administration :
    Les prises systématiques permettent d’éviter les oscillations de douleur ou de fièvre.
    Chez l’enfant, elles doivent être espacées, de préférence de six heures, voire
    quatre heures au minimum.
    En cas d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à dix ml/min), l’intervalle entre deux prises sera au minimum de huit heures.
    .
    Mode d’Emploi :
    Boire immédiatement après dissolution complète dans
    unverre d’eau, de lait ou de jus de fruits.


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