DEXAPOLYFRA collyre (arrêt de commercialisation)

DEXAPOLYFRA collyre (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/8/1999
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : COLLYRE EN SOLUTION
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : ALCONProduit(s) : DEXAPOLYFRA
Evénements :
- octroi d’AMM 14/10/1970
- publication JO de l’AMM 26/3/1971
- mise sur le marché 1/1/1976
- arrêt de commercialisation 1/4/1993
- retrait d’AMM 1/12/1995
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 311609-7
1
flacon(s)
5
ml
plastiqueEvénements :
- inscription SS 19/3/1971
- arrêt de commercialisation 1/4/1993
- radiation collectivités 22/10/1995
- radiation SS 26/10/1996
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 15
jour(s)
Régime : liste I
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Par poids : 100
g- DEXAMETHASONE PHOSPHATE 0.10 g
phosphate de dexamethasone sel disodique - FRAMYCETINE SULFATE 0.70 g
sulfate de framycetine correspondant en base a - POLYMYXINE B SULFATE 700000 U.I.
sulfate de polymyxine b correspondant en base a
- MACROGOL 300 excipient
- EAU DISTILLEE excipient
- PHOSPHATE DISODIQUE ANHYDRE excipient
- PHOSPHATE MONOPOTASSIQUE ANHYDRE excipient
- PHENYLMERCURE NITRATE conservateur (excipient)
- METABISULFITE DE SODIUM conservateur (excipient)
- PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE CORTICOIDE ET ANTIINFECTIEUX (principale)
Bibliographie : Classe ATC : S01C-A01.
La dexaméthaxone sous forme de collyre, pénètre facilement dans les tissus oculaires où elle exerce son activité.
La polymyxine b et la framycétine sont deux antibiotiques bactéricides à activité complémentaires dont l’association crée un spectre large, actif sur la plupart des germes habituellement responsables des affections oculaires (cocci gram+ et gram-, bacilles gram+ et gram-).
-
Infections oculaires aigües, subaigües ou chroniques du segment antérieur de l’oeil, nécessitant une antibiocorticothérapie locale, plus particulièrement : conjonctivites folliculaires, blepharites, traitements post-opératoires.
- MISE EN GARDE
Des instillations répétées et/ou de façon prolongée peuvent entraîner un passage systémique non négligeable du principe actif. - UTILISATION PROLONGEE
En cas d’emploi de longue durée de corticoïdes, les états de la cornée, du cristallin, ainsi que la tension oculaire sont à surveiller régulièrement. - NOURRISSON
Eviter de l’administrer aux nourrissons. - RECOMMANDATION
S’il y a infection et qu’elle ne régresse pas rapidement, ou en cas de réinfection quelle qu’en soit la nature, il convient d’arrêter toute corticothérapie locale et d’adapter la thérapeutique anti-infectieuse en fonction des résultats donnés par de nouveaux examens de laboratoires.
- ULCERE DE LA CORNEE
- HERPES OCULAIRE
- AFFECTIONS FONGIQUES
- TUBERCULOSE OCULAIRE
- ANTECEDENTS DE GLAUCOME
Personnels ou familiaux.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Trois à six instillations quotidiennes.