FEBRISPIR poudre pr solution buvable (arrêt de commercialisation)

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FEBRISPIR poudre pr solution buvable (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 24/9/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE POUR SOLUTION BUVABLE

    unidose

    Usage : adulte

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : SOEKAMI-LEFRANCQ

    Produit(s) : FEBRISPIR

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 7/8/1991
    2. mise sur le marché 4/11/1991
    3. publication JO de l’AMM 29/1/1992
    4. arrêt de commercialisation 1/4/1995

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 333863-3

    8
    sachet(s)

    Evénements :

    1. arrêt de commercialisation 1/4/1995


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    A TEMPERATURE AMBIANTE

    Régime : aucune liste

    Prix Pharmacien HT : 18.89 F

    Prix public TTC : 29.50 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. DECONGESTIONNANT NASAL V. GENER. (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe BIAM/ATC : R01B-X.
      Fébrispir agit en exercant trois actions pharmacologiques:
      – une action antihistaminique qui permet de réduire les rhinorrhées et les larmoiements souvent associés, et qui s’oppose aux phénomènes spasmodiques, tels que les éternuements en salve;
      – une action antalgique antipyrétique permettant une sédation de la fièvre et de la douleur (céphalées, myalgies);
      – une compensation en acide ascorbique de l’organisme.


    1. – Traitement symptomatique d’affections ORL aigües:
      rhumes, rhinites allergiques, rhinopharyngites.
      – Traitement symptomatique des états grippaux.
      – En cas d’affection bactérienne, une antibiothérapie peut être nécessaire.

    1. EFFET ATROPINIQUE
      Lié aux antihistaminiques.
    2. SECHERESSE DE LA BOUCHE
      Liée aux antihistaminiques.
    3. TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
      Liés aux antihistaminiques.
    4. RETENTION D’URINE
      Liée aux antihistaminiques.
    5. CONFUSION MENTALE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJET AGE

      liee aux antihistaminiques

    6. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJET AGE

      Liée aux antihistaminiques.

    7. REACTION ALLERGIQUE (RARE)
      Quelques rares cas d’accidents allergiques se manifestent généralement par de simples rashs cutanés avec érythème ou urticaire.
      Toute réaction allergique commande l’arrêt du traitement.
    8. RASH (RARE)
      Toute réaction allergique commande l’arrêt du traitement.
    9. ERYTHEME (RARE)
      Toute réaction allergique commande l’arrêt du traitement.
    10. URTICAIRE (RARE)
      Toute réaction allergique commande l’arrêt du traitement.
    11. THROMBOPENIE (RARE)
      Quelques rares cas de thrombopénies ont été cités dans la littérature internationale.

    1. BOISSONS ALCOOLISEES
      L’absorption de boissons alcoolisées ou de sédatifs (barbituriques en particulier) qui potentialisent l’effet sédatif des antihistaminiques, est à éviter pendant le traitement.
    2. TRAITEMENT PROLONGE
      Surveiller par principe la fonction rénale, bien q’aucune néphrotoxicité due au paracétamol n’ait été montrée chez l’homme dans les conditions normales d’emploi.
    3. INSUFFISANCE RENALE
      Surveiller par principe la fonction rénale, bien q’aucune néphrotoxicité due au paracétamol n’ait été montrée chez l’homme dans les conditions normales d’emploi.
    4. GROSSESSE
      Les résultats des études réalisées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène et ne permettent pas de préjuger l’absence d’un effet malformatif dans l’espèce humaine. Toutefois, par mesure de prudence, ne pas prescrire cette association chez la femme enceinte ou susceptible de l’être.
    5. ALLAITEMENT
      En l’absence d’étude chez l’animal et de données cliniques humaines, le risque n’est pas connu, par conséquent ne pas prescrire chez la femme qui allaite.
    6. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament.
    7. UTILISATEUR DE MACHINE
      Risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
      Ne pas administrer.
    3. GLAUCOME A ANGLE FERME
    4. ADENOME PROSTATIQUE
    5. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
    6. ASTHME

    Traitement

    Le paracétamol en surdosage massif provoque une cytolyse hépatique susceptible d’aboutir à une nécrose complète et irréversible.
    Les signes cliniques se manifestent généralement dans les 24 premières heures. Le traitement étiologique doit être entrepris
    dans les heures qui suivent l’absorption.
    Toute notion d’intoxication aigüe impose un transfert immédiat en milieu hospitalier. Les signes biologiques d’atteinte hépatique peuvent apparaître plus tardivement.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Adultes et enfants à partir de quinze ans :
    un sachet deux à trois fois par jour.
    Les prises doivent être espacées d’au moins quatre heures.
    .
    .
    Posologie Particulière:
    En cas d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine
    inférieure à 10 millilitres par minute), l’intervalle entre deux prises sera au minimum de huit heures.
    .
    .
    Mode d’Emploi:
    – Les sachets-doses doivent être pris dans une quantité suffisante d’eau, froide ou chaude.
    – Lors d’affections grippales, il est
    préférable de prendre ce médicament de l’eau chaude le soir, à l’apparition des premiers symptomes. En effet, la boisson chaude ainsi constituée favorise la diurèse et la transpiration propices à une élimination plus rapide des toxines.


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