CERNEVIT lyophilisat pr usage parentéral (Hôp)

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CERNEVIT lyophilisat pr usage parentéral (Hôp)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 6/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE POUR SOLUTION INJECTABLE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : CLINTEC NUTRITION CLINIQUE

    Produit(s) : CERNEVIT

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 5/9/1988
    2. publication JO de l’AMM 16/12/1988
    3. mise sur le marché 15/1/1989

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 556450-0

    10
    flacon(s) de lyophilisat
    verre brun

    Evénements :

    1. agrément collectivités 14/2/1989


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    A L’ABRI DE LA CHALEUR
    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste II

    Prix Pharmacien HT : 23.26 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. MULTIVITAMINES (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A11B-A.


    1. Supplémentation vitaminique chez les malades sous alimentation parentérale.

    1. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Elévation isolée des transaminases SGPT lors d’injection i.v. en bolus chez certains sujets.
    2. REACTION ANAPHYLACTIQUE
      Compte tenu de la présence de vitamine b1, il est possible d’observer des réactions anaphylactiques chez des sujets présentant un terrain allergique.
    3. DOULEUR AU POINT D’INJECTION
      Possibilité de douleur au point d’injection intramusculaire. Dans ce cas, une injection intraveineuse lente ou intramusculaire profonde est conseillée.

    1. SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
      Lors d’injection IV en bolus une élévation modérée et isolée des transaminases SGPT a été observée chez quelques patients présentant une entérocolite inflammatoire évolutive; élévation rapidement réversible à l’arrêt de l’administration.

      Il est conseillé de surveiller les taux de transaminases chez ce type de patients.
    2. SURVEILLANCE DE LA FONCTION HEPATIQUE
      Du fait de la présence d’acide glycocholique, l’administration répétée et prolongée chez des patients présentant un ictère d’origine hépatique ou une cholestase biologique importante, nécessite une surveillance attentive des fonctions hépatiques.
    3. GROSSESSE
      La vitamine A est tératogène chez l’animal sur plusieurs espèces.

      Dans l’espèce humaine, des cas de malformations ont été rapportés avec de fortes doses. Toutefois, à ce jour, l’absence d’étude épidémiologique fiable et le faible effectif des notifications isolées empêchent de conclure définitivement sur la réalité de ce risque malformatif.

      En conséquence, compte tenu de l’apport alimentaire quotidien, il est recommandé de ne pas dépasser une dose journalière de 5 000 UI de vitamine A apportée par des médicaments.
    4. ALLAITEMENT
      L’utilisation est déconseillée en cas d’allaitement du fait du risque de surdosage chez le nouveau-né.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. HYPERSENSIBILITE A LA VITAMINE B1
    3. ASSOCIATION A LA LEVODOPA

    Traitement

    Signes cliniques :
    – Surdosage aigu (doses de vitamine A supérieures à 150 000 UI) : troubles digestifs, céphalées, hypertension intracrânienne (se manifestant chez le nourrisson par le bombement de la fontanelle), oedème papillaire, troubles
    psychiatriques, irritabilité, voire convulsions, desquamation généralisée retardée.
    – Surdosage chronique (risque d’intoxication chronique lors d’un apport prolongé de vitamine A à des doses supraphysiologiques chez un sujet non carencé) : hypertension
    intracrânienne, hyperostose corticale des os longs et soudure précoce épiphysaire. Le diagnostic est généralement porté sur la constatation de gonflements sous-cutanés sensibles ou douloureux au niveau des extrémités des membres. Les radiographies
    objectivent un épaississement périsoté diaphysaire au niveau du cubitus, du péroné, des clavicules et des côtes.
    Conduite à tenir : cesser l’administration de ce médicament, réduire les apports calciques, augmenter la diurèse, boissons abondantes.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE

    – 2 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    – 3 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de onze ans.
    Voie IM ou IV (en injection lente ou en perfusion).
    Un flacon par jour.
    .
    Mode d’Emploi:
    Voie intraveineuse :
    A l’aide d’une seringue, injecter le contenu d’une ampoule de solvant
    (cinq millilitres d’eau pour préparation injectable) dans le flacon. Agiter légèrement pour dissoudre le lyophilisat.
    IV lente ou perfusion en solution saline ou perfusion en solution glucosée.
    Cernévit peut entrer dans la composition de mélanges
    nutritifs associant glucides, lipides, acides aminés, électrolytes, sous réserve d’avoir vérifié préalablement la compatibilité et la stabilité dans le cas de chaque mélange nutritif utilisé.
    Voie intramusculaire :
    Dissoudre le lyophilisat dans deux
    millilitres cinq de solvant (eau pour préparation injectable) comme précédemment.


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